Dans le cadre des 20 ans de Fedora-fr et du Projet Fedora en lui-même, Nicolas Berrehouc alias Nicosss et moi-même (Charles-Antoine Couret alias Renault) avons souhaité poser des questions à des contributeurs francophones du Projet Fedora et de Fedora-fr.
La diversité des profils permet de voir le fonctionnement du projet Fedora sous différents angles, au-delà de la distribution, mais aussi comment il est organisé et conçu. Certains points s’appliquent d’ailleurs à d’autres distributions.
N’oublions pas que le Projet Fedora reste un projet mondial et un travail d’équipe, ce que ces entretiens ne permettent pas forcément de refléter. Mais la communauté francophone a la chance d’avoir suffisamment de contributeurs et de contributrices de qualité pour permettre de donner un aperçu de beaucoup de sous-projets de la distribution.
Chaque semaine un nouvel entretien sera publié sur le forum Fedora-fr.org, LinuxFr.org et le blog de Renault.
L’entretien du jour concerne Timothée Ravier, contributeur au Projet Fedora en particulier aux systèmes dits immuables et à l’environnement KDE Plasma.
Bonjour Timothée, peux-tu présenter brièvement ton parcours ?
J’ai commencé à m’intéresser aux logiciels open source autour de 2004 lorsque j’ai découvert Firefox (version 1.0 à l’époque) par l’intermédiaire d’un ami qui l’a téléchargé pour moi sur un CD ré-inscriptible, car je n’avais pas encore l’ADSL à l’époque. J’ai ensuite découvert Linux avec Ubuntu 6.06. Après mes études d’ingénieur en sécurité informatique, j’ai travaillé à l’ANSSI pendant cinq ans sur le projet CLIP OS et je travaille désormais pour Red Hat où je co-dirige l’équipe CoreOS, qui est responsable de la maintenance de Fedora CoreOS et de Red Hat Enterprise Linux CoreOS pour OpenShift.
Peux-tu présenter brièvement tes contributions au Projet Fedora ?
Mes contributions à Fedora sont liées à mon intérêt pour les systèmes orientés conteneurs, parfois dénommés immuables (immutable). Je fais ainsi partie de l’équipe qui maintient Fedora CoreOS, je suis un mainteneur des Fedora Atomic Desktops (principalement Silverblue et Kinoite) et je suis membre du KDE Special Interest Group (SIG).
Qu’est-ce qui fait que tu es venu sur Fedora et que tu y es resté ?
Je suis passé par plusieurs distributions Linux (Ubuntu, Gentoo, Arch Linux) mais je suis désormais sur Fedora.
Je pense que les « Four Foundations » de Fedora représentent bien mon parcours :
Pourquoi contribuer à Fedora en particulier ?
Je préfère être proche des projets upstream et des dernières évolutions. C’est pour cela que j’étais pendant un long moment sous Arch Linux.
Mais le processus pour pousser des changements dans Arch Linux était plutôt flou. Il est important de noter que cela a peut-être changé désormais. Mon expérience date de plus de 6 ans et je crois qu’ils ont un processus de RFC maintenant. Le fonctionnement d’Arch Linux impose aussi des mises à jour régulières et une certaine discipline lors des mises à jour liée au modèle de développement sans version fixe.
Je commençais alors à m’intéresser de plus en plus aux systèmes à base d’images (CoreOS Container Linux et Fedora Atomic Host à l’époque) et je suis donc allé voir Fedora Atomic Workstation (ancien nom de Silverblue) pour créer une version à base de l’environnement KDE Plasma, qui est devenue Fedora Kinoite.
Le processus pour pousser des changements dans Fedora est ce qui fait la force de la distribution. Il permet d’obtenir des discussions et des décisions sur les évolutions à apporter à la distribution pour la prochaine version.
Contribues-tu à d’autres Logiciels Libres ? Si oui, lesquels et comment ?
En dehors de Fedora, je contribue principalement au développement des projets KDE. Je fais partie de l’équipe qui maintient les applications KDE empaquetées avec Flatpak et publiées sur Flathub.
Je contribue aussi occasionnellement à différents projets open source en fonction des besoins.
Utilises-tu Fedora dans un contexte professionnel ? Et pourquoi ?
Oui, mes ordinateurs professionnels et personnels tournent sous Fedora Kinoite et mes serveurs personnels utilisent Fedora CoreOS. Une partie des serveurs que nous utilisons pour développer et produire les versions de Fedora CoreOS sont aussi sous Fedora CoreOS. D’autres sont sous Red Hat Enterprise Linux CoreOS, car ils font partie d’un cluster OpenShift.
En gros, nous sommes aussi des utilisateurs directs des logiciels que nous développons.
Est-ce que tes contributions dans Fedora se font entièrement dans le cadre de ton travail ? Si non, pourquoi ?
Une grosse partie de mes contributions se font dans le cadre de mon travail, mais toute la partie liée à KDE et aux Fedora Atomic Desktops est faite sur mon temps personnel.
Est-ce que être employé Red Hat te donne d’autres droits ou opportunités au sein du Projet Fedora ?
Je n’ai pas plus de droits dans Fedora parce que je travaille pour Red Hat. Je dois suivre tous les processus de Fedora comme n’importe quel contributeur. J’ai d’ailleurs commencé à contribuer à Fedora avant d’avoir été employé par Red Hat.
En revanche, il est indéniable que cela m’aide pour contribuer, car j’ai régulièrement l’occasion de discuter avec d’autres contributeurs Fedora dans le cadre de mon travail.
Tu as débuté une carrière dans la sécurité pour finalement travailler pour Red Hat en tant que mainteneur de CoreOS, Silverblue, Kinoite et contributeur à KDE, pourquoi ne pas avoir continué dans la sécurité pour cet écosystème ?
Quelque part je continue à faire de la sécurité mais sous un autre angle. La sécurité que je faisais avant ne bénéficiait qu’à un petit nombre de personnes qui avait accès aux systèmes que l’on développait. La nouvelle version open source de CLIP OS devait rendre le système plus accessible mais le projet était complexe et je crois qu’il est désormais archivé.
Je travaille désormais à améliorer la sécurité de Fedora CoreOS et des Fedora Atomic Desktops sans compromettre leur utilisabilité. L’objectif est de fournir une distribution Linux avec des mises à jour robustes qui soit utilisable par des non développeurs.
Tu participes à CoreOS pour RHEL, CentOS Stream et Fedora. Peux-tu expliquer le but de CoreOS et ses principales caractéristiques ? Quelles sont les différences entre RHEL, CentOS Stream et Fedora à ce sujet ?
L’objectif pour les systèmes CoreOS est de faire tourner au mieux des applications dans des conteneurs. Pour Fedora CoreOS, c’est un système minimal, avec des mises à jour automatiques, proposant à la fois podman et moby-engine (Docker) installés par défaut, prêt à faire tourner des conteneurs sur un seul nœud ou dans le cadre d’un cluster Kubernetes.
Pour Red Hat Enterprise Linux CoreOS (et CentOS Stream CoreOS), ce sont des systèmes qui forment le socle d’OpenShift (et d’OKD), une plateforme qui intègre plein de projets open source dont Kubernetes.
Bien qu’il n’y ait pas une correspondance exacte un pour un dans la liste des logiciels inclus, Fedora CoreOS est l’upstream de CentOS Stream CoreOS et Red Hat Enterprise Linux CoreOS, de la même façon que Fedora est l’upstream de CentOS Stream, qui l’est de Red Hat Enterprise Linux.
L’architecture atomic a gagné du terrain sur les systèmes pour le bureau avec Silverblue et Kinoite et devient relativement populaire, peux-tu expliquer quel en est l’intérêt d’une telle conception pour ce genre de systèmes ?
Le principal intérêt pour un utilisateur est la robustesse et rapidité des mises à jour. Celles-ci sont préparées en arrière plan alors que le système fonctionne normalement. Il suffit alors de redémarrer pour mettre à jour son système. Il n’y a pas d’attente supplémentaire ni à l’extinction ni au démarrage.
Si une mise à jour échoue, le système reste dans l’état actuel, et il est possible de réessayer plus tard.
Si une mise à jour introduit un problème important empêchant le démarrage du système par exemple, il est possible de redémarrer et de choisir la version précédente dans le menu de démarrage de GRUB.
Les utilisateurs sont aussi poussés à utiliser Flatpak pour installer leurs applications graphiques et toolbox (ou distrobox) pour utiliser les applications en ligne de commandes dans des conteneurs.
Quels sont les défis techniques de proposer cette conception dans ces systèmes par rapport à CoreOS par exemple ?
La principale différence est la présence d’une interface graphique. Les applications graphiques doivent être parfois adaptées pour fonctionner avec Flatpak. C’est désormais le cas de la plupart d’entre elles.
Tu y contribues en tant que membre de Fedora Atomic Desktops SIG, peux-tu expliquer son rôle dans Fedora et ton activité dedans ?
Le rôle du Fedora Atomic Desktops SIG est de regrouper l’ensemble des contributeurs Fedora des différentes variantes Atomic : Silverblue, Kinoite, Sway Atomic et Budgie Atomic. Bien que chacun de ces systèmes propose un environnement de bureau distinct, ils partagent énormément d’éléments, tant au niveau des composants de base du système que de l’infrastructure Fedora. Le SIG permet donc de regrouper les contributeurs pour pouvoir les inclure dans les prises de décisions qui impactent ces systèmes.
Je participe à la maintenance des Fedora Atomic Desktops et plus principalement de Silverblue et Kinoite. Cela peut impliquer des mises à jour de paquets, des corrections de bugs dans des projets upstream ou des rajouts de fonctionnalités pour améliorer l’expérience sur ces systèmes. Je surveille aussi que tous les Atomic Desktops continuent de recevoir des mises à jour régulièrement.
Penses-tu qu’un jour ces systèmes atomic deviendront la référence par défaut ? Si oui à quelle échéance ? Quelles sont les difficultés actuelles à résoudre ?
Je l’espère ! Il est impossible de donner une échéance et cela ne dépend pas vraiment de moi. La difficulté la plus importante est la prise en charge du matériel et les pilotes qui ne sont pas intégrés dans Fedora. C’est un problème que l’on ne peut pas résoudre dans Fedora à cause des contraintes légales et qui sont traitées par le projet Universal Blue, dont la variante Bazzite (https://bazzite.gg/), est très populaire.
Pour la problématique des pilotes, est-ce que l’initiative du noyau unifié (d’avoir une image universelle et signée comprenant le noyau, initrd, la ligne de commande) te semble être une solution à cette problématique ?
Ces deux sujets ne sont pas liés.
Le problème des pilotes externes au noyau Linux upstream est divisé en deux cas principaux :
Les images noyau unifiées (Unified Kernel Images ou UKI) incluent le noyau, l’initrd et la ligne de commande du noyau dans un seul fichier. Cela présente des avantages pour mettre en place une chaîne de boot mesurée, notamment à l’aide du TPM, et donc pour offrir de meilleures garanties de sécurité. Leur intégration est encore en cours dans les variantes CoreOS et Atomic Desktops.
Les développeurs et administrateurs systèmes ont souvent besoin d’outils qui à ce jour nécessitent souvent de recourir à rpm-ostree plutôt que Flatpak ou Fedora toolbox dans le cadre d’un système immuable. Penses-tu que ces verrous sont un réel problème et qu’ils seront éventuellement résolus dans le temps ?
L’un des objectifs de la nouvelle initiative conteneurs bootables (« Bootable Containers ») est justement de rendre plus ergonomique la modification du système de base. Le système est distribué sous forme d’une image de conteneur standard (image OCI) et il est possible de la modifier à l’aide d’un Containerfile / Dockerfile et d’outils natifs aux conteneurs. Cela permet aux utilisateurs de ré-utiliser leurs habitudes et outils pour modifier aussi leur système de façon sûre et de partager le résultat à l’aide d’un registre d’image de conteneurs.
Nous allons aussi ajouter à nouveau dnf (version 5) dans ces images de conteneurs pour mettre à disposition des utilisateurs une interface familière et toutes les options de dnf lors de la construction de ces images.
Une autre piste est d’utiliser le concept des extensions systèmes de systemd (systemd system extensions ou sysexts), qui permettent d’ajouter du contenu dynamiquement à un système sans perdre les avantages de la gestion à base d’images. Les sysexts utilisent la même technologie que pour les conteneurs (overlayfs) pour ajouter des éléments (merge) au contenu des dossiers /usr et /opt de l’image de base. Je suis en train d’investiguer cette option pour rendre son usage ergonomique pour ces systèmes : https://github.com/travier/fedora-sysexts.
Il est aussi possible de modifier temporairement le système en utilisant un système de fichier temporaire monté au-dessus des emplacements en lecture seule (overlayfs). Les fichiers de /usr peuvent alors être modifiés et de nouveaux paquets RPM installés à la demande. Les modifications disparaîtront au redémarrage.
Tu participes aussi à l’équipe de KDE SIG, peux-tu expliquer son rôle dans Fedora et ton activité dedans ?
L’objectif du KDE SIG est de proposer la meilleure expérience possible de KDE sur Fedora. Nous suivons et contribuons aussi au développement de KDE upstream.
Je participe au KDE SIG en tant que mainteneur de Kinoite et développeur KDE.
GNOME reste le bureau principal de Fedora à ce jour, cependant la qualité de l’intégration de KDE progresse depuis de nombreuses années maintenant, penses-tu que la qualité entre les deux est aujourd’hui équivalente ? Est-ce que les contributions pour KDE sont freinées de par le statut de GNOME au sein du projet ?
C’est une question très difficile, car elle est très subjective. J’utilise principalement KDE sur mes systèmes, mais j’apprécie énormément le travail de design fait sur GNOME. Pour moi c’est un choix personnel.
D’un point de vue technologique, il est possible de trouver des éléments “meilleurs” dans GNOME que dans KDE et l’inverse.
Il n’y a pas de bénéfice à opposer ces deux projets. C’est au contraire la collaboration qui améliore l’expérience utilisateur.
Je ne pense pas que les contributions à KDE soient freinées par le status de GNOME dans Fedora.
L’équipe KDE SIG a récemment proposé d’améliorer le statut de KDE au sein du projet, quitte à même remplacer GNOME pour Fedora Workstation, peux-tu expliquer cette demande ? Penses-tu qu’un jour KDE remplacera GNOME au sein de Fedora ou de RHEL par exemple ?
L’idée des membres soutenant cette proposition (qui ne vient pas uniquement de personnes faisant partie du KDE SIG) est de remettre en question la place de GNOME « par défaut » dans le projet Fedora (notamment Fedora Workstation). Poser cette question force le projet à clarifier les critères qui font qu’un environnement de bureau est considéré comme majeur et donc autorisé à être représenté par une “édition” comme Fedora Workstation. Tous les environnements de bureau non-GNOME ne sont actuellement pas bien présentés sur le site de Fedora notamment.
Il est important pour un projet communautaire de pouvoir justifier ses choix, que l’on soit d’accord ou non avec les arguments présentés. Si ces choix sont perçus comme arbitraires (« c’est comme ça que cela a toujours été », « c’est un employé de Red Hat qui l’a décidé »), alors le projet Fedora perd en crédibilité. Il faut, par exemple, pouvoir justifier que GNOME est un bon choix à présenter aux utilisateurs découvrant Fedora.
Je ne pense pas que KDE va “remplacer” GNOME dans Fedora et ce n’est pas vraiment l’idée derrière cette proposition qui a été formulée explicitement de la sorte pour forcer la discussion. L’objectif est de rendre KDE plus visible dans Fedora.
Pour ce qui est de remplacer GNOME dans RHEL, c’est peu probable et cela serait une décision de Red Hat.
Penses-tu que Fedora est une distribution de référence pour utiliser KDE aujourd’hui ? Par le passé OpenSUSE, Kubuntu ou Mageia étaient souvent recommandées pour utiliser cet environnement.
Oui ! :) Fedora propose depuis plusieurs années les dernières versions de KDE à des fréquences très proches des sorties upstream. Nous sommes actuellement l’une des premières distributions à proposer le bureau KDE Plasma dans sa version 6. Le KDE SIG suit et participe activement au développement de KDE upstream et certains développeurs KDE recommandent désormais Fedora.
Je travaille avec Fedora Kinoite à rendre le développement de KDE plus abordable, notamment pour le test des versions en cours de développement.
Si tu avais la possibilité de changer quelque chose dans la distribution Fedora ou dans sa manière de fonctionner, qu’est-ce que ce serait ?
Je regrouperai l’intégralité des dépôts Git, codes sources, projets, suivi des bugs, etc. sur une (ou plusieurs) instance GitLab hébergée par le projet Fedora. C’est un projet qui est désormais en cours pour migrer vers Forgejo. Finies les instances Pagure (forge de développement Git), plus de Bugzilla (suivi des bugs). Il faudrait aussi abandonner les listes de diffusion pour utiliser Discourse à la place (transition aussi en cours).
D’un point de vue personnel, la migration du projet KDE vers GitLab fut un facteur déterminant dans ma capacité à contribuer au projet KDE. Le mode de contributions à l’aide de Pull Requests / Merge Requests à travers une interface web est devenu un standard qui réduit significativement la difficulté pour un premier contributeur à participer à un projet.
Je pense que c’est la prochaine étape importante pour rendre le développement de Fedora plus accessible et donc pour attirer plus de contributeurs.
À l’inverse, est-ce qu’il y a quelque chose que tu souhaiterais conserver à tout prix dans la distribution ou le projet en lui-même ?
Le processus pour proposer un changement (Change Process). C’est la clé de ce qui fait de Fedora une distribution à la pointe, qui évolue à chaque nouvelle version et qui pousse l’écosystème en avant.
Que penses-tu de la communauté Fedora-fr que ce soit son évolution et sa situation actuelle ? Qu’est-ce que tu améliorerais si tu en avais la possibilité ?
Malheureusement, je n’ai pas eu beaucoup d’interactions avec la communauté Fedora-fr, donc je n’ai pas grand-chose à dire.
Quelque chose à ajouter ?
Merci pour l’entretien !
Si vous souhaitez en apprendre plus sur ces systèmes, je vous recommande les documentations officielles des projets ou les présentations que j’ai réalisées (une ou deux en français).
Merci Timothée pour ta contribution !
ConclusionNous espérons que cet entretien vous a permis d’en découvrir un peu plus sur les systèmes immuables de Fedora et l’environnement KDE Plasma.
Si vous avez des questions ou que vous souhaitez participer au Projet Fedora ou Fedora-fr, ou simplement l’utiliser et l’installer sur votre machine, n’hésitez pas à en discuter avec nous en commentaire ou sur le forum Fedora-fr.
À dans 10 jours pour un entretien avec Thomas Canniot, ancien traducteur de Fedora en français et fondateur de l’association Fedora-fr.
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Vous gérez déjà votre propre instance Nextcloud ? Vous vous demandez comment renforcer la sécurité de vos données ou adopter un stockage plus flexible ? Cette conférence est faite pour vous !
Au programme :
Deux-cent-quarante-troisième émission « Libre à vous ! » de l’April. Podcast et programme :
Rendez‐vous en direct chaque mardi de 15 h 30 à 17 h sur 93,1 FM en Île‐de‐France. L’émission est diffusée simultanément sur le site Web de la radio Cause Commune.
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Libre à vous !, l'émission de radio de l'April sur les libertés informatiques. est diffusée sur la radio associative Cause Commune, la voix des possibles.
La radio propose un rendez-vous convivial chaque premier vendredi du mois à partir de 19 h 30 dans ses locaux à Paris: une soirée « radio ouverte » avec apéro participatif à la clé. Occasion de découvrir le studio et de rencontrer les personnes qui animent les émissions.
La prochaine soirée-rencontre aura lieu vendredi 2 mai 2025 à partir de 19 h 30 au studio de la radio : 22 rue Bernard Dimey 75018 Paris. Inscription (non obligatoire, mais cela facilite l'organisation) sur le bloc-notes.
À partir de 20 h il y aura en direct une émission intitulée « Comm'un vendredi » consacrée aux coulisses de la radio. le principe général est de réunir des animatrices et animateurs d’émissions de la radio pour parler de leurs émissions, de la radio, de leurs expériences. Mais aussi donner la parole aux auditrices et aux auditeurs.
Notre réunion mensuelle ouverte au public ("Linux Meeting Party") a lieu tous les premiers jeudi du mois entre 19h et 22h (accès libre : sonnez simplement à la porte et patientez).
Voir annonce sur notre site pour tous les détails et l'éventuel sujet du jour.
244e émission « Libre à vous ! » de l’April. Podcast et programme :
Rendez‐vous en direct chaque mardi de 15 h 30 à 17 h sur 93,1 MHz en Île‐de‐France. L’émission est diffusée simultanément sur le site Web de la radio Cause Commune. Vous pouvez nous laisser un message sur le répondeur de la radio : pour réagir à l’un des sujets de l’émission, pour partager un témoignage, vos idées, vos suggestions, vos encouragements ou pour nous poser une question. Le numéro du répondeur : +33 9 72 51 55 46.
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Voix off : Bonjour et bienvenue sur Les dessous de l'IA, le podcast qui tente de mieux comprendre les évolutions de l'intelligence artificielle et leurs impacts sur nos sociétés. Bonne écoute.
Clément Durand : Bonjour Nadia, et bienvenue sur Les dessous de l'IA. Aujourd'hui, nous allons nous intéresser à mieux comprendre l'impact des technologies d'IA sur le fonctionnement de notre cerveau et notre capacité à sociabiliser. Pour commencer, est-ce que tu pourrais présenter un petit peu ton (…)
Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
Les inquiétudes augmentent face aux décisions de l’administration américaine, et nombreux sont les acteurs qui s’interrogent sur la pérennité de leur informatique lorsqu’elle repose sur des infrastructures américaines.
Microsoft, Facebook, Mailchimp, Amazon, Dropbox, Zoom … Leurs prix vont-ils augmenter ? Quel respect du RGPD ? Jusqu’où assumer leurs différences de valeurs avec ce que nous sommes et ce que nous portons ?
La matinée permettra de (ré)expliquer ce que sont les logiciels libres. À partir des pratiques, des alternatives seront présentées. Des témoignages de structures sont aussi prévues.
Un serveur WOPI (Web application Open Platform Interface) permet à un logiciel client de modifier un fichier stocké sur un serveur. C'est la couche indispensable pour qu'OnlyOffice, LibreOffice (Collabora Online) et d'autres suites bureautiques puissent être utilisés sur le web. Ainsi, lorsque vous réclamez l'ouverture d'un document depuis votre navigateur web, vous vous connectez à la suite bureautique en ligne avec une URL particulière, contenant, entre autres, le nom du fichier à ouvrir. La suite bureautique peut alors discuter avec le serveur WOPI pour récupérer le document. Les lectures, écritures et modifications d'un document sont gérées par le serveur WOPI, à la demande de la suite bureautique. Le protocole a été créé par Microsoft en 2012, la révision 14.5 de WOPI est sortie le 18 février 2025.
Les serveurs WOPI libres de Nextcloud, Seafile, Tracim… ne sont pas indépendants. Comme je voulais utiliser Collabora Online sans déployer un NextCloud complet, j'ai écrit un serveur WOPI très simple. Il est utilisé depuis plus d'un an sans problème et il est libre. Il est écrit en Java.
J'ai commencé ce développement car je travaille sur deux lieux privés différents avec un ordinateur à chaque endroit, un NAS dans l'un d'eux et je communique entre les deux machines à l'aide d'un dépôt git sur le NAS. Ça fonctionne relativement bien pour des fichiers qui n'ont pas vocation à rester ouverts dans des applications, mais pour des fichiers ODS ou ODT qui restent ouverts, c'est plus compliqué car je me retrouve souvent avec des versions concurrentes sur les deux machines. J'ai donc regardé du côté des suites de collaboration en ligne.
À une époque , je me servais d'Etherpad et de son équivalent tableur Ethercalc. Mais ces logiciels manquent de fonctionnalités, surtout le tableur. Problème supplémentaire : j'ai déjà beaucoup de fichiers aux formats LibreOffice.
Ça tombe bien, il y a la suite LibreOffice online, éditée par Collabora Online (CODE). Le problème — comme souligné par une dépêche — c'est qu'une fois CODE installé, tu te retrouves à poil avec rien qui marche : il faut un serveur utilisant le protocole WOPI.
Pour éviter d'installer tout un NextCloud, j'ai écrit un petit serveur WOPI. C'est du Java avec Spring Boot. Le serveur est très simple, sur le principe que plus un système est simple, moins il a de chances de tomber en panne.
Par exemple, il n'y pas de droits d'accès et on ne peut pas avoir plusieurs utilisateurs simultanés. Il faudrait mettre en œuvre le système de verrous et le système de droits d'accès (faire reposer les droits d'accès sur les droits du système de fichier, implique d'avoir un utilisateur sur la machine pour chaque utilisateur du logiciel). Cela n'a pas été implanté parce que je suis le seul utilisateur sur ma machine. Mais ce ne serait pas long à développer.
Le serveur une fois lancé expose des services REST, accessibles par la suite bureautique, mais aussi un service https qui permet d'afficher la liste des fichiers. Cette liste de fichier est cliquable et permet de se connecter à Libre Office avec la bonne URL. C'est la raison des paramètres proxyHost et code URL de l'application : être en mesure de générer la bonne URL.
Le code est prévu pour avoir plusieurs backends à l'aide d'une interface. Le seul mis en œuvre pour l'instant c'est un stockage sur disque local (avec auto discovery : on lui donne un répertoire et il expose tout les documents du répertoire).
Il consomme peu de ressources, la charge dépendra plus de Collabora Online ou d'OnlyOffice. Le serveur WOPI se contente de lire un fichier à l'ouverture et de l'écrire de temps en temps (comme lors des enregistrements automatiques).
Il n'est pas testé avec OnlyOffice. En principe WOPI est une norme et ça devrait fonctionner.
On peut le lancer avec java -jar. C'est du Spring Boot. On pourrait utiliser systemd. De mon côté, je l'ai mis dans un container docker qui lance la commande suivante
java -Dlogging.level.root=INFO \ -Dlogging.level.org.wopiserver=INFO \ -Dserver.port=8880 \ -jar /opt/app/app.jar \ --baseDir /mnt/docs \ --disableTLSCheck \ --codeURL https://172.17.0.8:9980 \ --proxyHost 192.168.124.252Le code de WoPiX est dispo sur github et je suis ouvert à toute requête :-)
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Voix off : Libre à vous !, l'émission pour comprendre et agir avec l'April, l'association de promotion et de défense du logiciel libre.
Frédéric Couchet : Bonjour à toutes, bonjour à tous dans Libre à vous !. C'est le moment que vous avez choisi pour vous offrir une heure trente d'informations et d'échanges sur les libertés informatiques et également de la musique libre. Aujourd'hui, nous allons partir à la rencontre de Cécilia Bossard, développeuse libriste, consultante senior chez Shodo (…)
Le Musée Replay (sur Bordeaux) œuvre pour la préservation du patrimoine informatique et vidéoludique. En juin, il perd son espace de stockage, ce qui menace sa collection. Il recherche donc un nouveau local et fait appel à financement participatif.
Depuis plusieurs années, le Musée Replay (sur Bordeaux) œuvre pour la préservation du patrimoine informatique et vidéoludique. Machines anciennes, consoles, ordinateurs rares, accessoires, documentation… une collection unique en France est en constante évolution grâce à un travail de passionnés, notamment via des expositions itinérantes et des actions de sensibilisation.
Mais aujourd’hui, l’avenir de cette collection est sérieusement menacé.
En juin, le Musée perd son espace de stockageLe local de 150 m² qui abrite actuellement les machines va devoir être libéré. Ce qui pose plusieurs problèmes urgents et concrets :
Vous pouvez en savoir plus, et participer financièrement si vous le souhaitez, via la page suivante :
https://www.helloasso.com/associations/musee-replay/collectes/un-nouveau-local-pour-musee-replay
Même quelques euros peuvent faire la différence. Et si vous ne pouvez pas contribuer financièrement, le simple fait de relayer l’information est déjà un soutien précieux.
Une chaîne YouTube pour découvrir leur travailLe projet est également porté (et documenté) à travers la chaîne Olipix, qui publie des contenus orientés histoire de l’informatique, restauration de machines, présentations de matériel rétro, etc.
À découvrir ici : https://www.youtube.com/@Olipix
D’autres initiatives, musées et associations œuvrent également pour la préservation du patrimoine informatique, vidéoludique et numérique.
Parmi elles, on peut citer l’association MO5, installée en proche banlieue parisienne, qui possède l’une des plus importantes collections européennes, et participe régulièrement à des expositions culturelles.
À Bussy-Saint-Georges, le projet Odyssée prévoit pour 2028 l’ouverture d’un vaste musée consacré au jeu vidéo et à la pop culture, articulé autour de la collection personnelle de Ludovic Charles (plus de 2 500 consoles).
En Belgique, le musée NAM-IP, situé à Namur, est dédié à l’histoire de l’informatique, tandis que le Pixel Museum de Bruxelles a malheureusement fermé ses portes fin 2024.
La diversité de ces projets, chacun avec son approche, contribue à mieux préserver et valoriser un patrimoine riche et multiple.
Pour aller plus loin, l’article Musée de l'informatique propose une liste (non exhaustive) des musées consacrés à l’informatique et au jeu vidéo… Peut-être devrions-nous aller y faire un tour, et le bonifier à l’aune de l’actualité ?
En 1985, j’étais moi-même à côté d’un Commodore PET 2001. C’est cette mémoire, cette passion, ces machines qui nous ont fait rêver, apprendre, bricoler, que le Musée Replay aide à sauvegarder.
Merci à toutes celles et ceux qui prendront le temps de lire, partager, ou soutenir cette initiative.
Le patrimoine numérique n’est pas virtuel : il est bien réel, et mérite qu’on le protège.
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Toutes les informations sont sur https://premier-samedi.org
Plan des salles : https://premier-samedi.org/IMG/png/plancarrnum.png
Venez aider ou vous faire aider à installer et paramétrer des logiciels libres et toute distribution GNU/Linux ou Android avec les associations d'utilisateurs de Fedora, Mageia, Ubuntu, Debian pour GNU/Linux ; et Replicant, LineageOS, f-droid pour Android, sur netbook, portable, tour, PC/Mac, ou smartphone, éventuellement à côté de votre système actuel. Idem si vous avez des difficultés avec GNU/Linux, un périphérique, un logiciel libre, ou avec des logiciels libres sous Android.
Le GULL52 avec l'association REVOL organisent une visioconférence animée par Lise Whales.
Pour les tous·tes les personnes qui s'intéressent à la publication de livres numériques et papiers en auto-édition et qui souhaitent :
Alors, venez nous rencontrer et discuter lors de cet atelier.
Rendez-vous en visio sur :
Calendrier Web, regroupant des événements liés au Libre (logiciel, salon, atelier, install party, conférence), annoncés par leurs organisateurs. Voici un récapitulatif de la semaine à venir. Le détail de chacun de ces 45 événements (France: 39, internet: 5, Québec: 1) est en seconde partie de dépêche.
Libre à Vous vous invite à découvrir cette expo qui vient illustrer l’impact grandissant du numérique sur notre quotidien. Elle tend à sensibiliser à la défense de l’environnement et à proposer de bonnes pratiques pour y faire face.
L’exposition propose des solutions pour un usage des technologies numériques conciliable avec les ressources de notre planète.
Si vous souhaitez en savoir plus sur tout cela, vous pourrez retrouver l’expo dans les couloirs de la ferme Dupire du 21 mars au 2 mai 2025 [32292_1]. Cette expo, conçue avec le concours de scientifiques de l’INRIA de Villeneuve d’Ascq est accessible à tout public.
Entrée Libre. Tout Public.
Montpel'libre réalise une série d’émissions régulières à la Radio FM-Plus intitulées « Temps Libre ». Ces émissions sont la présentation hebdomadaire des activités de Montpel’libre.
Après le jingle où l’on présente brièvement Montpel'libre, nous donnerons un coup de projecteur sur les activités qui seront proposées prochainement.
Ces émissions seront l’occasion pour les auditeurs de découvrir plus en détails les logiciels libres et de se tenir informés des dernières actualités sur le sujet.
Alors, que vous soyez débutant ou expert en informatique, que vous ayez des connaissances avancées du logiciel libre ou que vous souhaitiez simplement en savoir plus, Montpel'libre, au travers de cette émission, se fera un plaisir pour répondre à vos attentes et vous accompagner dans votre découverte des logiciels libres, de la culture libre et des communs numériques.
Vous vous demandez peut-être ce qu’est un logiciel libre. Il s’agit simplement d’un logiciel dont l’utilisation, la modification et la diffusion sont autorisées par une licence qui garantit les libertés fondamentales des utilisateurs. Ces libertés incluent la possibilité d’exécuter, d’étudier, de copier, d’améliorer et de redistribuer le logiciel selon vos besoins.
Inscription | GPS 43.60524/3.87336
Fiche activité:
https://montpellibre.fr/fiches_activites/Fiche_A5_017_Emission_Radio_Montpellibre_2024.pdf
Une semaine avec Aciah-Linux à Châteaubriant, Nozay, Rougé et Nort sur Erdre au plus près des besoins des personnes.
Aciah-Linux utilise « la touche Cœur » du clavier pour une informatique enfin accessible.
Vous voulez vous engager pour une cause, rencontrer de nouvelles personnes et découvrir la cartographie participative et humanitaire? CartONG vous invite à participer à un ou plusieurs mapathons en ligne!
Voix off : Libre à vous !, l'émission pour comprendre et agir avec l'April, l'association de promotion et de défense du logiciel libre.
Étienne Gonnu : Bonjour à toutes, bonjour à tous. Bienvenue dans Libre à vous !. C'est le moment que vous avez choisi pour vous offrir une heure trente d'informations et d'échanges sur les libertés informatiques et également de la musique libre. Luanti, une approche éducative, c'est le sujet principal de l'émission du jour. Avec également au programme « Ne (…)
Montpel’libre, Laboratoire d’idéation
Montpel'libre est à la fois un ensemble d’espaces d’activités et un groupe de réflexion qui vise à promouvoir des idées innovantes dans différents domaines, souvent en lien avec l’inclusion numérique, les industries culturelles et créatives, l’économie sociale et solidaire, le développement durable, la recherche et formation ainsi que l’éducation scientifique, citoyenne et populaire. En tant que groupe d'utilisateurs de logiciels libres et GNU/Linux, Montpel'libre œuvre à la diffusion des principes de la culture libre et des communs numériques.
À l’image d’un espace de créativité et d’idéation, Montpel'libre peut être vu comme un lieu où des créateurs, entrepreneurs, chercheurs et citoyens se réunissent pour échanger des idées, tester des concepts et développer des projets novateurs. Ce travail en commun favorise le remue-méninges et in fine la créativité.
Bien sûr, vous le savez, Montpel’libre n’est pas une entreprise, Montpel’libre est une association qui entreprend ! Elle se distingue par ses méthodes de travail participatives, centrées sur l’utilisateur, qui privilégient la coconstruction de projets avec les utilisateurs finaux. Elle organise régulièrement des ateliers, des hackathons, des conférences, des formations, des événements et des rencontres, utilisant des approches agiles pour encourager la créativité, la résolution de problèmes et l’itération rapide de projets. Ces activités visent à renforcer l’émergence d’idées innovantes tout en intégrant la diversité des profils et des connaissances, allant des débutants aux experts, des particuliers aux professionnels. Cette dimension communautaire est essentielle, avec des antennes et des communautés actives à Abidjan, Béziers, Cotonou, Dakar, Lodève, Lomé, Mauguio, Montpellier et Sète, illustrant son rayonnement international.
Montpel'libre rassemble un large éventail d’acteurs, notamment des développeurs, des entrepreneurs, des chercheurs, des citoyens et des institutions, autour de principes fondamentaux tels que l’ouverture, la collaboration et l’inclusivité. Elle met en avant l’utilisation de logiciels libres et d’outils collaboratifs pour démocratiser l’accès à la technologie et encourager la participation citoyenne dans l’innovation. Ce dispositif constitue également un espace de réflexion sur des modèles économiques alternatifs, la durabilité et la transformation sociale, en expérimentant des solutions innovantes pour répondre aux enjeux contemporains.
Au-delà de ses activités internes, Montpel'libre contribue activement à l’écosystème local de résilience et d’innovation en soutenant des projets à fort impact social, avec notamment les Jerriparties, le Matos Gratos, des collectes d’ordinateurs pour des milieux défavorisés, par exemple. Elle agit comme facilitateur entre acteurs locaux, promouvant le partage de connaissances et de compétences. Par ses actions, elle participe à l’émergence d’une culture d’innovation collective et à la transformation des pratiques sociales, en intégrant la participation citoyenne et l’open source comme piliers fondamentaux.
L'objectif de la majeure en ingénierie des données de l’EPF est de former des ingénieurs flexibles et adaptables, forts en mathématiques et en informatique.
Après avoir présenté un projet de GML/LLM francophone libre qui puisse tourner en local et nous aider à être plus efficients.
Places limitées, inscriptions nécessaires | GPS 43.60023/3.87136
Venez découvrir Linux et vous faire aider pour l’installer et à la prise en main, dans différents lieux, dans et à proximité de la métropole montpelliéraine
L’équipe de Montpel’libre vous propose une permanence Logiciels Libres : discussions libres et accompagnements techniques aux systèmes d’exploitation libres pour vous aider à vous familiariser avec votre système GNU/Linux au quotidien.
Le contenu de l’atelier s’adapte aux problèmes et aux questionnement des personnes présentes avec leur(s) ordinateur(s), qu’il soit fixe ou portable, et permet ainsi l’acquisition de nouvelles compétences nécessaires à une autonomie numérique certaine, au rythme de chacun.
Les thèmes :
Vous pourrez y aborder plusieurs thèmes (liste non exhaustive) :
Les permanences techniques ont lieu une fois par semaine, dans un lieu et à des jours et heures différents.
Entrée libre et gratuite sur inscription. Une simple adhésion à l’association est possible. Rejoindre le groupe Montpel’libre sur Telegram S’inscrire à la Newsletter de Montpel’libre.
Fiche activité : https://montpellibre.fr/fiches_activites/Fiche_A5_002_Permanence_GNU-Linux_Montpellibre_2024.pdf
Réunion du framagroupe montpelliérain. Ces réunions ont pour objectif de monter des projets en droite ligne des activités de Framasoft:
Dégafamisons Internet, les Chatons pour Collectif d’Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires, framalibre, framakey, framapack...
Les thèmes:
CHATONS est le Collectif des Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires.
Il rassemble des structures souhaitant éviter la collecte et la centralisation des données personnelles au sein de silos numériques du type de ceux proposés par les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft).
Ainsi, nous vous invitons à venir participer aux Framapermanences qui auront lieu à la Maison des Adolescents de l’Hérault, le cinquième lundi de chaque mois, de 18h00 à 21h00.
Entrée libre et gratuite sur inscription. Une simple adhésion à l’association est possible. Rejoindre le groupe Montpel’libre sur Telegram S’inscrire à la Newsletter de Montpel’libre.