
LOTemplate est un générateur de documents sous licence AGPL v3 qui permet de générer des documents (ODT, DOCX, ODS, XLSX, PDF, …) à partir d'un document modèle avec des variables et d'un fichier json pour les données.
Comment faire faire à LibreOffice (headless, sans interface graphique) ce que l’on ne peut pas faire avec LibreOffice (GUI, avec interface graphique) ?
Et comme c’est Noël nous avons ajouté un meilleur système de log en cadeau.
Dans la version 2.2 de LOTemplate, nous avons ajouté la possibilité d’exporter des PDF en y ajoutant un filigrane de son choix avec comme paramètres :
Pour cela, nous utilisons l’API uno de LibreOffice, qui expose plus de paramètres que l’interface graphique de LibreOffice. En effet, si l’on cherche a faire cela dans l’interface graphique de LibreOffice, on ne peut choisir que le texte. Le filigrane apparaît ensuite en vert et à la verticale.
Mais en cherchant dans l’aide de LibreOffice, on trouve sur la page d’aide de l’outil d’export PDF en ligne de commande qu’il existe les options suivantes :
C’est donc possible, LibreOffice peut le faire mais uniquement avec l’API uno. Pour faire court, rien ne l’indique dans la doc de l’API uno. Toutefois on retrouve cette page (EN) en date de décembre 2022 qui explique l’amélioration qui permet cela.
En suivant un des liens de la page on arrive à cette page (EN).
Et là on peut lire : Fix the problem by only adding the option at an UNO API level for now, this relaxes the hardcoded color without cluttering the UI.
Super, c’est possible !
Ce ne sont que des propriétés de l’export PDF. La solution a donc été simple à implémenter, avec un peu de recherche.
En résumé, savoir chercher sur internet et lire la doc reste encore utile !
Télécharger ce contenu au format EPUBCommentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur
Calendrier Web, regroupant des événements liés au Libre (logiciel, salon, atelier, install party, conférence), annoncés par leurs organisateurs. Voici un récapitulatif de la semaine à venir. Le détail de chacun de ces 17 événements (France: 13, Internet: 3, Suisse: 1) est en seconde partie de dépêche.
Tous les lundis de 10h à 17h sans interruption, l’association Prends toi en main / atelier abcpc, propose install party, suivi, dépannage, formation et revalorisation à petit prix sous Linux exclusivement.
L’atelier abcpc existe depuis plus de 10 ans et milite exclusivement pour les logiciels libres.
Vous voulez vous engager pour une cause, rencontrer de nouvelles personnes et découvrir la cartographie participative et humanitaire? CartONG vous invite à participer à un ou plusieurs mapathons en ligne!
Les lauréats ont été revelés la semaine dernière à OSXP lors de la cérémonie de remise des prix organisée en plénière le mercredi 10 décembre.
Le concours des Acteurs du Libre est organisé chaque année par le CNLL en collaboration avec OSXP. Il est devenu un rendez-vous incontournable de l’écosystème open source français et européen, et vise à récompenser les entreprises et entrepreneurs ainsi que les projets innovants et associations qui contribuent par leurs actions au développement économiquement viable du logiciel Libre et de l’Open Source.
Les six prix décernés cette année ont été remis à :
Retrouvez les détails concernant les attributions en seconde partie de dépêche.
Prix de la meilleure stratégie Open Source : Thales est récompensé pour ses efforts remarquables pour ouvrir la structure et introduire la culture de l’open source, dans un secteur traditionnellement très encadré. L’ouverture récente d’un OSPO ainsi que la participation active à l’écosystème sur des conférences ou des contributions à certains projets ont permis d’affirmer l’importance de l’open source et afficher publiquement son positionnement stratégique validé par la direction.
Prix du développement commercial : XWiki reçoit ce prix en récompense de la croissance significative de son chiffre d’affaires, démonstration de sa force commerciale en France et à l’étranger, ainsi que de la clarté de son offre. L’adoption des solutions XWiki et du logiciel CryptPad connaît un fort développement, avec plusieurs cas d’usage chez des acteurs majeurs (RTE, Lenovo, Amazon, le Parlement européen) et une intégration au sein de plusieurs consortiums français et européens : Hexagone, CollabNext, Wimi et openDesk.
Prix de la collaboration public-privé : La collaboration entre le rectorat de Paris pour sa plateforme Capytale et l’ESN Vittascience spécialisée dans l’éducation scientifique et numérique est un cas exemplaire et innovant d’intégration de l’open source dans un appel d’offre du domaine de l’éducation. Considéré comme un commun numérique animé par une communauté et une gouvernance partagée, Capytale publie l’ensemble de ses ressources pédagogiques sous licence libre et assure la formation des acteurs. L’accord cadre entre Capytale et le consortium Vittascience/Tralalere a permis d’alimenter la plateforme, basée sur Python, en terme d’expertise et d’outils pour les enseignements de programmation, robotique et intelligence artificielle.
Prix pour un numérique ouvert et éthique : Ce prix est décerné à Murena, créatrice du système d’exploitation mobile e/OS, une alternative souveraine aux systèmes Android traditionnels. Murena est récompensé pour son approche révolutionnaire et ambitieuse, sa ténacité et son engagement fort pour proposer un nouveau modèle économique du numérique, ouvert et éthique, centré sur la protection des données et respectueux des utilisateurs.
Prix spécial du jury : Les efforts menés depuis 2018 par l’April avec l'émission radio "Libre à vous" ont permis de diffuser, vulgariser, démocratiser l’usage des logiciels libres et de faire comprendre à la société l’importance du libre pour la défense des libertés informatiques. Le jury a reconnu l’impact notable de l’émission dans la popularisation des valeurs du logiciel libre, et son positionnement actuel comme media de référence au sein de l’écosystème.
Prix Européen (en collaboration avec l’APELL) : Mockoon est une start-up basée au Luxembourg, née d’une initiative individuelle et proposant une solution pour la conception et l’exécution rapide d’API REST. Le jury a souhaité encourager le créateur pour son incarnation de l’esprit entrepreneurial open source, et récompenser le succès communautaire de Mockoon : le projet compte aujourd’hui des dixaines de milliers d’utilisateurs actifs, incluant des développeurs d’organisations mondiales telles que Amadeus, Booking.com et Vodafone.
Télécharger ce contenu au format EPUBCommentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur
Quand on développe et distribue des applications open-source auto-hébergées, il y a une question très simple à laquelle il est presque impossible de répondre :
Combien d’instances actives de mon application sont réellement utilisées ?
C’est exactement le problème que j’ai rencontré avec Ackify, une application open-source de preuve de lecture de documents (politiques internes, procédures, formations, etc.), déployée en self-hosted par ses utilisateurs - sans que j'ai le moindre contrôle dessus.
Pas de SaaS, pas de compte centralisé, pas de tracking utilisateur.
Résultat : zéro visibilité.
Un nouveau numéro du Lama déchainé sort ce mercredi comme chaque semaine depuis deux mois. Celui-ci est un peu spécial, car totalement réorganisé en dernières minutes. N’ayant pas de plume invitée, une plume s’est infiltrée, modifiant la thématique du numéro.
Il faut savoir que l’organisation de la campagne du Lama déchainé se fait sur la liste de discussion du groupe de travail sensibilisation de l’April. Quand lundi matin, à la place de la réunion hebdomadaire, j’ai lancé un appel à l’aide, nombreuses sont les personnes à avoir répondu présentes. La gazette s’est complétée au fur et à mesure des textes principaux en une demie journée ! (sauf l’écho des assos qui était déjà prêt).
Donc dans ce numéro 9 intitulé « le libre a gagné » vous retrouverez comme chaque semaine :
Sans oublier le logiciel Androïd choisi par Michael, la dernière distribution libre, l'ineptia, le Lama Photonique Interpellant et les mots croisés.
Ce numéro de la gazette est le dernier numéro qui regroupe toutes les rubriques. Le prochain numéro sera un numéro bonus, spécial Noël…
Plus que 7 jours avant que je ne menace le lama des pires sévices s’il n'atteint pas les 30 000€ de la frise.
Plus que 15 jours pour adhérer ou faire un don à l’April.
Merci de votre lecture, de vos commentaires, de vos nombreux relais sur les réseaux sociaux ou ailleurs et, bien sûr, de votre futur soutien !
Télécharger ce contenu au format EPUBCommentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur
PearOS renaît avec sa plus grande refonte : une base Arch Linux, KDE Plasma hautement personnalisé, et un design révolutionnaire Liquid Gel
PearOS, la distribution Linux emblématique créée en 2011 par David Tavares pour offrir une esthétique MacOS sous le pingouin, connaît un renouveau remarquable. Après des années d'oubli relatif, PearOS NiceC0re 25.12 revient en décembre 2025 avec une transformation radicale qui le positionne comme un concurrent sérieux dans le paysage des distributions Linux axées sur le design.
Un changement de fondations
La nouvelle version abandonne définitivement ses racines Ubuntu pour embrasser Arch Linux. Cette migration stratégique offre deux avantages majeurs aux utilisateurs : un accès à des paquets plus à jour via les dépôts généreux d'Arch, et un modèle de publication en rolling release. Les utilisateurs n'auront plus besoin d'attendre des versions majeures pour bénéficier des dernières innovations—une mise à jour unique suffit à recevoir les améliorations en continu.
Sous le capot, PearOS 25.12 tourne sur Linux kernel 6.17 et s'accompagne de KDE Plasma 6.5.3. Cette fondation moderne garantit un système performant, stable et doté d'une très large compatibilité matérielle.
L'identité visuelle : Liquid Gel et Glassmorphism
Le cœur de cette nouvelle direction réside dans la philosophie de design cristallisée par le concept de Liquid Gel. Loin d'être une simple application de thème, cette approche réimagine complètement l'interface utilisateur avec des effets de glassmorphism avancés, des animations fluides et des transitions viscérales qui donnent l'impression d'un système extrêmement raffiné.
Le résultat ? KDE Plasma, l'un des bureaux les plus puissants de l'écosystème Linux, a été fortement personnalisé pour reproduire l'esthétique des versions récentes de MacOS. Les thèmes d'icônes, les arrangements de panneaux et chaque détail visuel ont été soigneusement calibrés pour offrir une expérience utilisateur cohérente et agréable.
Un installateur modernisé en Electron
Première d'une longue série d'innovations, PearOS NiceC0re introduit un nouvel installateur créé avec Electron et Node.js. Cette approche web-based, bien qu'actuellement en phase béta, symbolise la volonté du projet de s'approprier les meilleures pratiques modernes de développement.
À quoi s'attendre à l'avenir
L'équipe de développement, actuellement menée par Alexandru Bălan (développeur roumain), ne s'arrête pas là. Trois éléments majeurs sont en chantier :
L'équipe a mis l'accent sur l'accessibilité du code source et encourage les contributeurs à explorer le projet sur GitHub. Pour les curieux, l'ISO est d'ores et déjà disponible au téléchargement sur le site officiel.
Télécharger ce contenu au format EPUBCommentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur
Les nouvelles les plus récentes sur LinuxFR concernant PrestaShop remontent à bientôt trois ans, une éternité dans le monde de l’édition de solutions web.
Pour rappel, PrestaShop est un système de gestion de contenu (CMS) libre français de commerce en ligne, développé en PHP et placé sous licence OSL v3.
En cette fin d’année 2025, regardons quelles sont les nouveautés des douze mois écoulés.
(Déclaration d’intérêts : je suis salarié PrestaShop SA)
Après plus de deux ans de développement et de collaboration avec la communauté, cette version majeure apporte son lot de nouveautés, principalement sous le capot. Avec, entre autres, le passage à Symfony 6.4 (version LTS), la compatibilité avec PHP 8.4 ou encore une toute nouvelle API d’administration.
La liste complète des nouveautés est disponible dans les notes de publication (en anglais)
Juillet et août : appel aux contributions externesLe projet PrestaShop, depuis sa genèse, est open source et ouvert à toute forme de contribution : développement, rapport de bugs, traductions, écriture de documentation, etc.
Au quotidien, ce projet est également soutenu par l’entreprise PrestaShop SA.
Durant cette année, cette dernière a souhaité améliorer le suivi des contributions externes. C’est pourquoi il a été décidé de proposer à la communauté deux thématiques ciblées : les hooks (billet en anglais) et l’API Admin (billet en anglais) .
Il y a quelques semaines, un point d’étape concernant les contributions sur l’API Admin a été publié sur le blog du projet (en anglais).
4 septembre : sortie de PrestaShop 8.2.3Depuis la publication de PrestaShop 9, la branche 8.2 est en support étendu, ce qui veut dire que seuls des correctifs de sécurité sont traités.
C’est pourquoi début septembre, la version 8.2.3 a vu le jour, suite la découverte d’une faille sur la page de réinitialisation du mot de passe.
Le billet de blog est disponible en anglais.
8 décembre : ménage de printemps d’hiverL’écosystème PrestaShop, ce sont des dizaines de dépôts, des centaines de contributeurices et des milliers de tickets ouverts.
Il a été proposé de revoir la manière dont sont gérés les tickets, afin d’aider la communauté à mieux s’y retrouver.
C’est pourquoi il est maintenant possible d’ouvrir un ticket (pour déclarer un bug ou demander une nouvelle fonctionnalité) sur certains dépôts directement. Auparavant, tout était centralisé sur le projet PrestaShop directement et il était devenu très compliqué, pour les personnes en charge de traiter les plus de 2 300 tickets d’être efficaces.
Toute la nouvelle organisation et les différentes étapes sont disponibles en anglais.
15 décembre : PrestaShop 9.1, levez les stylos !Et voila, on ne touche plus à cette version, en cours de développement depuis plusieurs mois, et on entre dans une phase de « feature freeze » : plus aucune nouveauté ne sera ajoutée. C’est une période pour tester cette version importante qui apportera notamment un nouveau thème par défaut (Hummingbird), un système de création de promotions revu et amélioré et aussi la possibilité d’assigner plusieurs transporteurs sur une seule commande.
Vous souhaitez tester cette future version et aider la communauté à stabiliser tout cela, n’hésitez pas à lire cette page publiée récemment.
Et en 2026, quel programme ?La procédure de livraison de PrestaShop 9.1 continuera son cours, avec la sortie de versions Release Candidate et bien sûr, une version finale. Pas de date à donner, c’est toujours plus sage d’être prudent.
Entamé depuis plusieurs années, le chantier de réécriture du backoffice poursuivra son cours, avec la migration vers Symfony.
En tout cas, l’année 2026 sera importante pour le projet et sa communauté, mais nous aurons le temps d’en reparler dans quelques semaines !
Télécharger ce contenu au format EPUBCommentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur
Deux-cent-soixante-troisième émission « Libre à vous ! » de l’April. Podcast et programme :
Rendez‐vous en direct chaque mardi de 15 h 30 à 17 h sur 93,1 MHz en Île‐de‐France. L’émission est diffusée simultanément sur le site Web de la radio Cause Commune. Vous pouvez nous laisser un message sur le répondeur de la radio : pour réagir à l’un des sujets de l’émission, pour partager un témoignage, vos idées, vos suggestions, vos encouragements ou pour nous poser une question. Le numéro du répondeur : +33 9 72 51 55 46.
Télécharger ce contenu au format EPUBCommentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur
Annoncé en grandes pompes hier lors du temps fort associatif d'Open Source Experience, le podcast Projets Libres devient le podcast de LinuxFr.org. Depuis avril 2023, le podcast Projets Libres vous apporte un éclairage sur les projets, communautés et les individus qui composent l'écosystème libre et open source. Les épisodes sont régulièrement promus ici même.
Tout en conservant son nom d’origine, il s’intègre désormais à la galaxie du site pour proposer, en plus des dépêches, journaux, liens… un format audio régulier consacré au logiciel libre, à ses actrices et acteurs et à ses projets. Ce rapprochement ne changera pas la ligne éditoriale du podcast, mais inscrit ce travail dans le temps long. À court terme, il inclut un nouveau logo et générique pour le podcast, et un lien d'accès au podcast depuis LinuxFr.org.
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas encore Projets Libres, il s’agit d’un podcast francophone consacré au logiciel libre, à l’open source et aux communautés qui les font vivre. Chaque épisode explore un projet, une technologie, un parcours ou une initiative, souvent à travers une interview, un échange à plusieurs voix ou un retour d’expérience. Le ton est volontairement accessible, destiné aussi bien aux curieuses et curieux qu’aux personnes déjà impliquées dans le libre.
LinuxFr.org, de son côté, n’a plus vraiment besoin d’être présenté ici : le site communautaire francophone consacré au libre depuis 1998 regroupe dépêches, journaux, liens, forums, sondages, tribunes et autres contenus publiés par la communauté. L’arrivée d’un format audio s’inscrit donc comme une évolution naturelle pour enrichir encore les contenus mis en avant. Mais si vous voulez en savoir plus sur LinuxFr.org, sachez que nous avons eu droit à notre épisode dédié il y a deux ans et que nous vous invitons à l'écouter !
Pourquoi ce rapprochement ?Le podcast a connu une accélération en 2025, et le besoin d'avoir une entité légale s'est fait sentir. L'idée étant de récolter des fonds pour financer notre travail, mais aussi de préciser le but non lucratif et les motivations de l'équipe. Plutôt que de créer une n-ième association dont il allait falloir s'occuper, au détriment du temps passé à la réalisation de podcasts.
De plus, nous pressentons clairement que les deux communautés se recoupent et aiment découvrir des projets libres en écoutant des retours d’expérience, des interviews ou des discussions techniques… et LinuxFr.org dispose justement d’une communauté intéressée par ce type de contenus. Le rapprochement permettra :
Pas d’inquiétude : le podcast garde sa ligne éditoriale, son nom et son style.
Concrètement, ça va se passer comment ?Un nouveau générique et un nouveau logo vont très vite faire leur apparition, mais pour le reste, pas grand-chose ne change pour les personnes qui écoutent déjà Projets Libres :
Côté LinuxFr.org,
Le tout reste sous licence libre ou ouverte, dans la continuité de ce que pratiquaient déjà LinuxFr.org et le podcast.
Et pour la suite ?Nous allons travailler à une intégration plus poussée, mais elle reste encore à imaginer. Et comme tout ce qui touche à LinuxFr.org, ce rapprochement se veut avant tout communautaire. Vous avez une idée de sujet ? Vous maintenez un projet libre et souhaitez en parler au micro ? Vous aimeriez participer à un enregistrement, proposer une chronique, ou simplement donner votre avis ?
N’hésitez pas à le signaler dans les commentaires, ou à contacter l’équipe du podcast.
Bonne écoute, et à bientôt pour un nouvel épisode !
Cette dépêche est la quatorzième de sa série, après celles de 2011, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021, 2022, 2023 et 2024. Elle tient compte des suggestions des années passées.
2025, l’année du desktop GNU/Linux, ou pas, cette année encore, je m’adresse à toi libriste, qui procrastine en se disant qu’il reste quasi tout décembre pour faire des dons en 2025, déductibles des impôts ou non. Toute l’année on escompte soutenir telle ou telle action sur tel ou tel sujet qui nous méritait vraiment, car c’est important. Donnons quelques exemples d’associations de promotion et défense du Libre, des droits dans l’espace numérique ou de la liberté d’expression, dont les dons sont déductibles en France : Acrimed, Amnesty France, Basta!, Debian France, Musique Libre / Dogmazic (via EVL), Disclose, Framasoft, Fédération internationale pour les droits humains (FIDH), Fonds pour une Presse Libre, la Contre-Voie, Libre à Toi / Radio Cause Commune, Ligue des Droits de l’Homme (LDH), Open Food Facts, OpenStreetMap France, Politis, Reporterre, Reporters Sans Frontières (RSF), Wikimédia France, (qui n’est pas la Wikimedia Foundation états-unienne qui collecte aussi des dons), etc.
Toi libriste, comme tu fais vivre les principes du Libre, que tu contribues à des projets libres et défends des idées, tu soutiens aussi des associations ne bénéficiant pas de la déductibilité des dons en France (par exemple, des associations jugées trop dérangeantes ou trop critiques par le gouvernement… ou des associations européennes ou non, voire des associations n’ayant jamais fait la démarche, comme LinuxFr). Citons par exemple AFUL, April, Debian CH (déductible en Suisse), European Digital Rights (EDRi), En Vente Libre, Exodus Privacy, FACIL, FFII, FreeBSD Foundation, FSF (avec une longue liste de méthodes pour donner), FSFE (déductibilité dans plusieurs pays), Paheko, GNOME et GIMP, Haiku (déductible aux États‐Unis), IHateMoney, Internet Archive (déductible aux États‐Unis), KDE e.V (déductible en Allemagne), Khaganat (via EVL), La Mouette, Léa-Linux, LILA, LQDN, Ma Dada, Mageia (via EVL), , Nos Oignons, noyb, OKFN, PHP Foundation, le podcast Projets Libres, SlackBuild.org, Tails (déductible en Allemagne), TechInquiry (déductible aux États-Unis), Toile Libre, Tor (déductible aux États-Unis et en Europe), Ubuntu-Fr, XSF, Yunohost, etc. (notez qu’elles peuvent parfois avoir la déductibilité des dons dans d’autres pays, voir la décision C-318/07 mentionnée plus bas).
Cette dépêche récurrente vit aussi grâce à vos remarques, propositions d’ajouts, de compléments et vos retours sur les systèmes fiscaux et les dons dans vos pays respectifs. N’hésitez pas à la commenter pour l’enrichir. Bien que récurrente, cette dépêche est mise à jour et enrichie chaque année.
Précision : la dépêche parle bien de « don » (je soutiens sans rien obtenir à titre personnel), pas de « financement participatif avec contrepartie » (je cofinance en échange de goodies ou avantages), les deux étant destinés à des choses différentes. Si vous avez lu jusqu’ici, un dessin xkcd sur le sujet en récompense (et d’autres images plus loin pour récompenser les libristes patients qui liront jusqu’au bout).
Pourquoi les associations ayant des permanents ont des besoins récurrents d’argent ? (tiré de l’épisode 12 mais mis à jour)Quand une association veut passer de zéro à un permanent ou à un permanent de plus, elle n’a généralement pas en réserve de quoi le payer sur une année complète. Elle prend donc un risque avec une visibilité sur x mois (comme n’importe quel chef d’entreprise), en faisant de son mieux pour que l’argent rentre (le nouveau permanent va « produire », une campagne de communication ou d’appel à don ou autres sera lancée, une subvention sera recherchée, une convention sera signée avec tel ou tel, des goodies seront vendus, etc.).
Une association qui ne veut pas s’embêter à rechercher des fonds ou qui ne vise pas à passer le cap du premier permanent n’a pas du tout ce souci et peut être très indolente si elle veut.
Dès qu’il y a un besoin récurrent de payer des salariés, de payer à date les charges de l’employeur — qu’il faut prévoir à trois mois s’il faut gérer un préavis de licenciement économique ou pas, etc. —, cela devient plus compliqué (comme pour n’importe quel chef d’entreprise). Une association militante qui ne prendrait pas de risque financier du tout, ce n’est pas envisageable à mon avis. Toute la question étant de savoir combien elle réussit à faire rentrer d’argent au moment où c’est nécessaire, si elle peut continuer à embaucher pour grossir, faire plus d’actions ou faire mieux, si elle doit licencier, ou bien si elle doit stagner ou continuer ainsi dans l’immédiat.
Donc, oui, on a toujours l’impression que les associations ayant des permanents recherchent de l’argent (et décembre est particulier, car c’est la fin de l’exercice fiscal et traditionnellement la période des dons défiscalisés, notamment côté humanitaire associé aux bons sentiments des fêtes de fin d’année). Et oui, en décembre, la Croix Rouge ou le Secours Populaire, April, RSF, LQDN, la FSF, Amnesty, Framasoft et bien d’autres font des appels à don.
En dehors de la simple mais cruciale question de la trésorerie (pérennité / continuité), il y a bien évidemment aussi les projets et actions futures à financer. Citons par exemple la justification de Framasoft (une dizaine de permanents) en six points :
Quelques chiffres : « Chacun s’accorde pour estimer que près de 90% des associations fonctionnent exclusivement grâce à leurs bénévoles. Vitale dans ces associations, cette ressource humaine reste essentielle dans les 10 à 12% d’associations employant des salariés »
« en 2022, l’emploi privé non lucratif au sein des associations et des fondations représente plus de 155 000 employeurs, plus de 2 millions de salariés, soit 9,5% du total des salariés du secteur privé, et une masse salariale de plus de 54,4 milliards d’euros (près de 7% de la masse salariale du secteur privé) » (Recherche et Solidarités)
Et sur l’évolution des bénévoles et du mécénat de compétences :
« Les 25-34 ans sont de plus en plus nombreux à s’engager (30% en 2024 pour 22% en 2019), quand les 70 ans et plus perdent 10 points pour n’être que 24% aujourd’hui. »
« En 2024, 9% des Français sont présents chaque semaine dans leurs associations, ils étaient 10% en 2019 et 12,5% en 2010. »
« Ces tendances fragilisent la colonne vertébrale des associations, à savoir celles et ceux qui les font vivre au quotidien qui se trouvent privées de l’expérience et de la disponibilité des seniors »
« Parmi les perspectives positives, le mécénat de compétences poursuit sa percée avec 27% de bénévoles tentés par l’expérience en 2024 ; ils étaient 23% en 2022 et 20% en 2019. » (Recherche et Solidarités et France Générosités)
France générosités mentionne des évolutions récentes (juillet 2024), notamment le fait que les dons des particuliers aux organismes d’intérêt général qui concourent à l’égalité entre les femmes et les hommes ouvrent droit à réduction d’impôt et la prorogation jusqu’au 31 décembre 2026 du plafond dérogatoire de 1 000 € applicable aux dons retenus pour la réduction d’impôt de 75 % accordée au titre des dons versés aux organismes qui apportent une aide gratuite aux personnes en difficulté.
France générosités rappelle aussi les limites légales :
Exemple pour un particulier : je suis imposable et donne 99 € à l’association XYZ bénéficiant de la déductibilité des dons à hauteur de 66 %. Mon don me coûte en fait (au final) 33 €, j’ai temporairement avancé 66 € qui seront ensuite déduits de mon imposition fiscale (dit autrement, j’ai choisi l’attribution de 66 € du budget de l’État).
Autres infos :
« Dans ce climat de défiance, les associations et fondations font figure d’exception. Si leur niveau de confiance baisse légèrement (60 %, soit -4 points par rapport à 2024), elles restent mieux perçues que la plupart des institutions publiques et politiques. »
« Près de 4 Français sur 5 (77%) déclarent avoir déjà effectué un don. » (contre 80% en 2024)
« Donateurs réguliers 44% »
« Les donateurs réguliers se sentent plus chanceux, plus engagés, plus heureux, plus solidaires, plus intégrés »
(Baromètre de la Confiance dans les Associations et Fondations 2025)
« Le Baromètre de la générosité 2024 révèle une progression des dons des particuliers de +1,9% en euros courants en 2024 par rapport à 2023 (hors dons d’urgence médiatisée). Cette hausse compense tout juste l’inflation. »
« progression des dons réguliers (par prélèvement automatique) : +4,4% par rapport à 2023 »
(Baromètre de la générosité 2024)
« l’augmentation des investissements est aussi due à des coûts d’acquisition en hausse (+ 28%) en raison d’une concurrence accrue pour atteindre 33 € de coût d’acquisition moyen par donateur sur les campagnes de fin d’année (CFA) 2022 du panel de l’étude mais pour un don moyen de 172 € (+ 10%). »
(Baromètre Orixa Fundraising 2023)
Forcément, je connais mieux le sujet pour la France, mais voici néanmoins quelques infos glanées pour d’autres pays (et je ne doute pas que les visiteurs compléteront dans les commentaires) :
(source)
Exemple de dons financiers et parfois de temps« Sacrifier une partie de son revenu pour faire un don à une association, c’est une affaire sérieuse. » (patrick_g)
Liste non exhaustive de dons financiers ou de temps à des associations du Libre ou pour libérer quelque chose :
Pour les exemples plus ou moins exhaustifs sur les 11 premières années de cette série de dépêches, voir la section de l’année 2022
Pour les exemples plus ou moins exhaustifs sur les 11 premières années de cette série de dépêches, voir la section de l’année 2022.
Pour les exemples plus ou moins exhaustifs sur les 11 premières années de cette série de dépêches, voir la section de l’année passée.
Don à une entreprise ? (tiré de l’épisode 11 mais mis à jour)Une question un peu annexe ici vu le titre « dons aux associations » mais qui a déjà été posée ici ou là sur LinuxFr.org : peut‐on faire un don (sans contrepartie) à une entreprise ? Pour prendre quelques sites que j’aime bien : Next.ink anciennement Next INpact (SARL de presse) a opté pour un mélange de comptes premium (avec contrepartie, donc), publicités et dons. Voir les appels à dons 2023 pour le Fonds pour une presse libre ou Next.ink par exemple). Tandis que Reflets.info (SAS) accepte les dons.
Lors d’une recherche rapide précédente, j’avais vu évoquer l’utilisation du compte 7713 « libéralités perçues » du plan comptable, d’un justificatif clair pour la comptabilité (un expert comptable et/ou un notaire sont évoqués), d’une exonération de TVA si aucune vente de bien ou de service n’est associée. Bref, la question des taxes et impôts à payer pour le donateur (60 % entre non‐parents ?) et l’entreprise n’est pas forcément claire. Cela reste assez flou et hypothétique, et ça mériterait une question aux impôts.
.
Logiciels libres pour gérer les dons (tiré de l’épisode 12 mais mis à jour)La question avait été posée lors de l’épisode 3 de cette série de dépêches : quel(s) logiciel(s) libre(s) utiliser pour faire les dons ? Ou pour les gérer ? En général, pour les faire, un navigateur fait l’affaire : paiement en ligne, réception de l’éventuel reçu fiscal, réception d’un éventuel message de remerciement.
Pour les reçus fiscaux, il convient de les conserver avec les documents des impôts pendant le temps nécessaire (suivant la législation locale).
Pour les dons via des intermédiaires, par exemple Liberapay ou HelloAsso, il faut conserver soigneusement les identifiants du compte créé pour l’année suivante.
Si vous avez opté pour l’adhésion à une structure plutôt que le don, vous allez recevoir des identifiants aussi et probablement une lettre interne ou des choses du genre, ainsi que certainement une convocation à une assemblée générale annuelle.
Et si vous avez opté pour versement régulier (virement ou prélèvement), ça ne change pas fondamentalement les choses ; éventuellement, l’organisme qui prélève vous prévient un peu avant chaque prélèvement par courriel.
Il existe aussi dans le Libre des logiciels ou des événements spécialement prévus pour les dons :
À ma connaissance, le site HelloAsso, structure ayant obtenu son agrément « Entreprise solidaire d’utilité sociale », évoqué dans un commentaire de 2015, n’utilise pas une plate‑forme libre, contrairement à Liberapay.
Télécharger ce contenu au format EPUBCommentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur
Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
Nous continuons sur notre lancée de récompenser celles et ceux qui chaque mois contribuent au site LinuxFr.org (dépêches, commentaires, logo, journaux, correctifs, etc.). Vous n’êtes pas sans risquer de gagner un livre des éditions Eyrolles, ENI et D-Booker. Voici les gagnants du mois de novembre 2025 :
Les livres gagnés sont détaillés en seconde partie de la dépêche. N’oubliez pas de contribuer, LinuxFr.org vit pour vous et par vous !
Scenari est un ensemble de logiciels open source dédiés à la production collaborative, publication et diffusion de documents multi-support. Vous rédigez une seule fois votre contenu et vous pouvez les générer sous plusieurs formes : site web, PDF, OpenDocument, diaporama, paquet SCORM (Sharable Content Object Reference Model)… Vous ne vous concentrez que sur le contenu et l’outil se charge de créer un rendu professionnel accessible et responsive (qui s’adapte à la taille de l’écran).
À chaque métier/contexte son modèle Scenari :
Calendrier Web, regroupant des événements liés au Libre (logiciel, salon, atelier, install party, conférence), annoncés par leurs organisateurs. Voici un récapitulatif de la semaine à venir. Le détail de chacun de ces 39 événements (France: 35, Internet: 3, Belgique: 1) est en seconde partie de dépêche.
Deux-cent-soixante-deuxième émission « Libre à vous ! » de l’April. Podcast et programme :
Rendez‐vous en direct chaque mardi de 15 h 30 à 17 h sur 93,1 MHz en Île‐de‐France. L’émission est diffusée simultanément sur le site Web de la radio Cause Commune. Vous pouvez nous laisser un message sur le répondeur de la radio : pour réagir à l’un des sujets de l’émission, pour partager un témoignage, vos idées, vos suggestions, vos encouragements ou pour nous poser une question. Le numéro du répondeur : +33 9 72 51 55 46.
Commentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur
Educalibre est une conférence consacrée aux biens communs, aux ressources pédagogiques libres, à l’autonomie stratégique et au logiciel libre principalement à l’école et dans le secteur public, mais bien sûr aussi dans toutes sociétés.
Elle se profile dans l’exacte suite des RMLL, les Rencontres mondiales des logiciels libres, dont l’édition bruxelloise s’est tenue dans les locaux de l’Université libre de Bruxelles et de Educode, la conférence sur la technologie dans l’éducation tenue fin 2018 à Bozar, les samedi 4, dimanche 5 et lundi 6 juillet 2026.
Cette conférence, d’abord communautaire et festive, est gratuite pour toutes les personnes impliquées dans l’enseignement (sauf les vendeurs de manuels, contenus et applications qui ne sont pas libres ou proposés des associations sans but lucratif).
Elle se veut une occasion de se retrouver dans un cadre humain festif à la fin de l’année scolaire, juste avant d’entamer des vacances bien méritées, et ce pour tous les développeurs de logiciels qui pourraient être utilisés à l’école ou dans un cadre de formation, pour tous les enseignants, ou pour toute autre personne intéressée par ces sujets.
Bien sûr chacun doit payer ses logements, repas et le cocktail dînatoire lundi 6 juillet 2026 à 19h dans les superbes salles gothique et de mariage de l'hôtel de ville sur la superbe Grand-Place de Bruxelles
Un préprogramme et des thèmes ainsi que les moyens de participer à l’organisation sont indiqués dans le wiki qu’est educalibre.eu. Nous vous y convions et vous y attendons.
Nous avons déjà la confirmation de la réservation des locaux du cocktail, offerts par la Ville de Bruxelles, et une option pour les locaux bien connus de tous ceux qui fréquentent le FOSDEM, la plus importante conférence des développeurs de logiciels libres en Europe, qui se tient à l’ULB tous les premiers weekends de février depuis 2000.
Cette conférence sera vraisemblablement aussi en partie organisée au Parlement européen ou à la Fondation universitaire proche.
Elle traitera aussi de la difficile question de l’autonomie stratégique, un vocable proposé par Tristan Nitot pour parler de souveraineté numérique, dans toutes ses formes et questions, et des moyens de la préserver, en montrant aussi concrètement comment procéder, avec des expositions de solutions concrètes par des prestataires.
Le cocktail dînatoire aura lundi 6 juillet à 19h, donc à la fin de educalibre. Pour la participation, limitée à 300 personnes ce sera « premier inscrit premier servi ». Mais bien sûr, les participants auront amplement l’occasion de se rencontrer entre eux et avec leurs clients/utilisateurs/clients potentiels lors des pauses café et repas qui seront très bien aussi.
Ces conférences sont initiées par Nicolas Pettiaux et François Pellegrini, deux figures bien connues du monde du libre francophone et européen depuis 2000. Elles sont dès maintenant coorganisées avec Jean-Yves Jeannas, Georges Khaznadar et Serge Smeesters. François est l’initiateur des RMLL à Bordeaux, Georges est un professeur de chimie et de physique très impliqué dans Debian et les RMLL depuis toujours, Jean-Yves est enseignant à l’Université de Lille, très impliqué dans les communs numériques, les standards ouverts et l’AFUL, Serge est un auteur régulier sur Linuxfr et un enseignant avec des logiciels libres qu’il contribue à développer, et Nicolas a participé dès le début à l’organisation du Osdem devenu Fosdem. Nicolas et François sont associés à des universités, respectivement l’Université libre de Bruxelles et l’Université de Bordeaux, et sont aussi actifs dans de nombreuses associations.
Educalibre est organisée par l’association belge Educode avec le soutien actif de l'Université libre de Bruxelles
Toute personne intéressée par l’organisation (je fais ici directement appel à toutes celles et ceux qui ont participé en leurs temps aux RMLL) ou le soutien à de telles conférences est priée de se manifester en écrivant à educalibre@educode.be en mentionnant son attachement professionnel, s’il y en a un, la raison de son intérêt et sa motivation ainsi que ses compétences.
Nous vous remercions déjà pour toutes vos idées et suggestions pour ces deux conférences.
La participation à educalibre sera gratuite comme elle l’était aux RMLL, et les participants seront invités à soutenir financièrement comme ils peuvent, comme pour le FOSDEM, et à acheter des goodies pour la soutenir.
Ils pourront acheter à prix coûtant les repas organisés (petits-déjeuners, déjeuners et repas du soir) organisés dans les lieux de la conférence pour favoriser les rencontres.
Les entreprises et institutions sont invitées à soutenir financièrement la conférence par exemple par des dons ou l’achat de stands et espaces de sponsoring comme pour les rencontres de la Linux Foundation.
Télécharger ce contenu au format EPUBCommentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur
Vous l’avez déjà lu, mais chaque numéro du Lama déchainé a une thématique particulière. Cette fois-ci, c'est un numéro qui parle de diversité et d’inclusivité mais surtout des richesses que cela peut apporter à une communauté !
Pour l’édito de ce numéro, nous avons fait appel à notre spécialiste, celle qui anime les chroniques F/H/X dans l’émission Libre à vous ! sur la radio Cause commune: Florence Chabanois. Merci pour son texte !
La parole bénévole est à Ewa, qui anime les stands parisiens et est intervenue à la radio.
Sinkra, présidente des sans-pagEs, a tenu la plume invitée pour nous présenter cet incroyable projet qui vise à enrichir l’encyclopédie Wikipédia de pages consacrées à des femmes.
La distribution libre choisie cette semaine est FreeBSD, ça change de GNU/Linux !
L’écho des assos est pour découvrir l’association GEBULL, qui ne s’intéresse pas qu'au numérique.
Le logiciel libre pour Android présenté par Michael Opdenacker est Joplin, pour prendre des notes.
Dans ce numéro, vous aurez enfin les dernières étapes pour finir de construire votre LPI (Lama photonique Interpellant) et bien sûr, toutes les chroniques habituelles. Sans oublier les mots croisés évidement.
Notre actu brulante s’en est prise au Canard enchainé qui nous a « atrocement et très beaucoup » déçu.
Petit rappel (désolée…), le Lama déchaîné présentera les actions de l’April et de ses proches jusqu’à Noël 2025, avec, si possible, humour, subjectivité et parfois espoir. Nous travaillons à un numéro bonus avec de nombreux cadeaux à l’intérieur ! Nous réfléchissons au choix du papier qui les emballera.
Ce travail qui occupe plusieurs membres de l’association, chaque semaine pendant plus de 20h, a pour but d’assurer la pérennité des activités de l’April qui essaie de récolter une somme de 30 000€ avant le 31 décembre 2025.
Cette semaine, la somme récoltée a dépassé les 40%. Il ne reste plus que trois semaines pour atteindre les 100%. Le finish sera manifestement mouvementé. Un sprint final pour la dernière semaine est déjà envisagé !
Merci de votre lecture, de vos commentaires, de vos nombreux relais sur les réseaux sociaux ou ailleurs (c’est un bon moyen de nous aider que de relayer) et, bien sûr, de votre soutien !
Y a vraiment de plus en plus de liens dans ces articles.
Télécharger ce contenu au format EPUBCommentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur
Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
Les rencontres hivernales du libre (RHL) sont organisées par l'association Swisslinux à Saint-Cergue (VD) en Suisse. La dixième édition aura lieu du 23 au 25 janvier 2026.
Elles se destinent à un public de libristes désirant se rencontrer et parler des leurs sujets communs, ou en découvrir de nouveaux.
Projets Libres reçoit les organisateurs pour parler de l'édition 2026 et retracer l'histoire de l'évènement : Emmanuelle Germond, Sébastien Piguet (Sebseb01) et Sébastien Tauxe (Oïnska).
Nous revenons sur :
Bonne écoute !
Commentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur
Calendrier Web, regroupant des événements liés au Libre (logiciel, salon, atelier, install party, conférence), annoncés par leurs organisateurs. Voici un récapitulatif de la semaine à venir. Le détail de chacun de ces 49 événements (France: 44, Internet: 3, Belgique: 1, Québec: 1) est en seconde partie de dépêche.