VideoLAN soutient la campagne d'adhésion de l'April

Logo de soutien de VideoLAN

Le projet VideoLan soutient la campagne d'adhésion de l'April. Pour encore mieux promouvoir et défendre le logiciel libre l'April a lancé le 12 novembre 2008 une campagne d'adhésion qui a pour objectif de renforcer l'April dans sa représentativité et dans ses moyens d'actions. Depuis le lancement de la campagne plus de 400 personnes et 15 entreprises ont déjà rejoint l'April.


Logo de VLC « VideoLAN encourage ses utilisateurs français à adhérer à l'association amie April. L'April, par le passé, a soutenu VideoLAN dès le début de son aventure dans le logiciel libre. L'action de l'April, lors de son engagement contre des projets de lois bloquant le logiciel libre ou pour la défense de la GPL, est soutenue par l'équipe de VideoLAN. »

« Le projet VideoLAN est un projet qui date de 1995, lorsque des élèves sur le campus de l'école Centrale Paris ont essayé de diffuser des fichiers vidéo entre plusieurs ordinateurs. Le projet VideoLAN a été à la naissance de plusieurs logiciels, tels que VLS, VLC, libdvdcss, libdvbpsi, miniSAP server, x264 ou libdca/libdts. Aujourd'hui, la plupart des gens ne connaissent que VLC media player (anciennement VideoLAN Client), et ne s'en servent que comme lecteur. La base d'utilisateurs de VLC media player est très importante, mais très difficile à chiffrer. VideoLAN, est un projet international qui reste très libre, porté par des développeurs qui y travaillent pendant leur temps libre et pour leur plaisir. ».
Pour en savoir plus sur ce projet, lisez l'interview de Jean-Baptiste Kempf de l'équipe de VideoLAN publiée en octobre 2008 par PC INpact, ou rendez-vous sur le site du projet VideoLAN.

Comme l'indiquait récemment dans une interview Alix Cazenave, chargée de mission « affaires publiques » à l'April, les actions de l'April sont importantes pour des acteurs comme le projet VideoLAN. Ils sont en effet directement concernés par des menaces telles que les brevets logiciels, la protection juridique des DRM ou encore la remise en cause de l'exception de décompilation.