
Le Repair Café proposé au mois de mai dernier au Lieu Jaune devient récurrent ! Après trois expériences concluantes, les associations Digor An Nor et Ti Nuage posent leur caisse à outils tous les deux mois dans le bar associatif de Saint-Éloi.
Afin de réduire votre empreinte carbone, de participer à la réduction des déchets et d’éviter le gaspillage, ou tout simplement de conserver les outils et les équipements auxquels vous tenez, apportez les objets du quotidien que vous souhaitez réparer : poste de radio, fer à repasser, ordinateur, outils…
Et vos ordinateurs ? Vous voulez donner une seconde vie à un vieil ordinateur ou simplement explorer des alternatives libres aux logiciels propriétaires ? Venez essayer un système alternatif à Windows, adapté à vos besoins, et découvrir des logiciels libres pour tous les usages (bureautique, graphisme, internet, etc.)
Toutes les questions sont aussi les bienvenues, qu’elles soient relatives aux matériels, à vos outils informatiques, à vos usages du numérique… Pour apprendre et partager dans une ambiance détendue.
Pour davantage de sérénité, pensez à sauvegarder vos données au préalable.
A l’occasion des Hauts-de-France réparent et des Journées Nationales de la Réparation, des acteurs lillois organisent la Fête de la réparation les vendredi 17 et samedi 18 octobre 2025 à Lille.
Au programme :
A cette occasion, des libristes se réunissent pour une opération spéciale fin de vie de windows 10 et se proposent d'installer linux sur les PC des participants.
Organisateurs : la Maison Régionale de l’Environnement, l'étiquette, Chaud Bouillon, La Loco
Partenaires : Les Repair Cafés lillois et le Jardin des Bennes, Emmaüs connect, les libristes (Chtinux – Cliss21), les ateliers vélos (Bbcyclette, Jantes du Nord, ...), Zéro waste
Dans le cadre de la fête des Possibles, venez découvrir Linux et pourquoi pas faire la transition de votre ordinateur de Windows à Linux.
Nous vous accompagnons pas à pas et proposons de répondre à toutes vos questions !
Dans le cadre de la Fête des Possibles, Doune et Attilax vous proposent une Install Party le 12 octobre de 14h à 18h dans les locaux de la CNL, 2 rue d'Alsace, 94430 Chennevières-sur-Marne
Venez découvrir Linux et si vous le souhaitez, amenez votre vieil ordinateur pour lui redonner une seconde vie !
Merci de réserver votre place sur ce formulaire d'inscription :
Vous en souvient-il ? En deux mille vingt-cinq, qpad nous présentait Typst, un nouveau système de composition de documents qui se posait en concurrent de LaTeX.
Depuis, Typst semble avoir grandi, en s’assortissant d’une galaxie (pardon, un univers) de paquets tiers. En fait, j’ai surtout l’impression qu’il a gagné en notoriété, ou en quantité de mouvement, pour le dire comme les anglophones. C’est l’occasion de présenter à nouveau ce système de composition.
Typst est donc un système de composition de documents. Comme LaTeX, il est non-visuel, c’est-à-dire qu’on code son document qui est ensuite compilé en PDF.
Concrètement, l’outillage se compose, au choix :
Typst partage plusieurs caractéristiques avec LaTeX dont il est ouvertement inspiré :
Bien que je n’aie pas vérifié ce point, il me semble probable qu’il utilise également quelques algorithmes de mise en page assez incontournables, définis par Donald Knuth pour TeX, par exemple pour la coupure des lignes d’un paragraphe.
Il s’écarte évidemment de LaTeX sur plusieurs aspects, sinon ce ne serait pas vraiment un nouveau système de composition :
Quand on arrive de LaTeX, l’impression est assez partagée, entre des différences significatives, de gros avantages et quelques inconvénients.
Le langage de texteLe langage de base pour le texte est différent de LaTeX, mais ce n’est pas vraiment dérangeant dans la mesure où on parle seulement de paragraphes, de titres, de mise en emphase, de listes, etc. Bref, le genre de chose qu’on fait aussi bien en Markdown. D’ailleurs, Typst étant né après le développement des langages de balisage léger, sa syntaxe Typst est justement assez proche de Markdown, ce qui n’est pas désagréable :
= Titre de section Voici du texte avec _une emphase_, *une emphase forte* et un `peu de code`.À noter que cette syntaxe légère n’est en fait que du sucre syntaxique, et qu’on peut écrire la même chose en faisant explicitement appel à des fonctions nommées.
La compilationPour celles et ceux qui n’ont pas l’habitude de LaTeX, compiler un document un peu costaud, qui fait appel à quelques extensions, ça demande un temps de l’ordre d’une ou plusieurs secondes, et cela produit des centaines, voire des milliers de lignes de log. Pour avoir des références internes (sommaire, références à des images…) et externes (bibliographie), il faut lancer plusieurs fois la compilation.
Pour qui vient du monde LaTeX donc, la compilation par Typst est hallucinante. Une seule passe, même si en interne, Typst fait certainement au besoin plusieurs itérations. Quelques dizaines de millisecondes. Ok, c’était pour un document ultra-simple, mais les commentaires lisibles sur les Interwebz font généralement état d’un rapport d’un ou deux ordres de grandeur par rapport à LaTeX.
Le langage de configuration et d’extensionLà où ça change vraiment, c’est pour tout ce qui relève des réglages, des modèles, de la personnalisation ou de la programmation d’extensions. Là, ça n’a plus rien à voir avec TeX et LaTeX. À mon avis, ce n’est pas un mal dans la mesure où le langage TeX et les conventions utilisées pour le développement en LaTeX sont assez complexes, voire incompréhensibles.
Cela se ressent dans le code des extensions. À titre de comparaison, celui de la classe LaTeX lettre fait quelques milliers de lignes. Et c’est assez illisible pour qui ne connaît par TeX. Le code du modèle formalettre, qui n’est certes pas aussi complet mais qui fait très bien le travail de base d’une telle classe, fait une centaine de lignes, que je trouve relativement lisibles pour un béotien.
L’utilisation de paquets tiersLes paquets tiers, hébergés sur l’univers Typst, sont téléchargés à l’utilisation. Par rapport à une distribution LaTeX qui pèse facilement plusieurs centaines de mébioctets, ça donne une vraie impression de légèreté.
La francisationL’adaptation aux conventions en usage en langue française, ou dans les différents pays francophones, me semble encore assez incomplète.
Lorsqu’on passe un document en français, les changements de base s’effectuent bien : un sommaire s’appellera bien « Tables des matières » et les césures respecteront l’usage de la langue.
En revanche, cela n’adapte pas la mise en forme des paragraphes avec alinéa, et on attendrait en vain que des mots comme 1ᵉʳ, 2ᵉ ou Mme soient automatiquement mis en forme selon l’usage attendu. Et non, il n’y a pas de commandes définies pour cela. Pas encore, en tout cas, parce que je serais surpris que personne ne publie un jour un paquet proposant tout cela.
Les modèlesL’équivalent d’une classe LaTeX est un modèle Typst. Cela correspond à un type de document, par exemple un article, un rapport ou une lettre.
Typst ne semble pas proposer de modèles officiels. Il y en a en revanche par mal dans l’univers Typst, et le langage est conçu pour rendre la création d’un modèle assez accessible. Le troisième chapitre du tutoriel officiel traite justement de la création d’un modèle.
Un bel avenir ?Typst a été conçu à partir de 2019 et a vraiment vu le jour en 2023. J’en ai entendu parler pour la première fois en mars 2023, dans le journal de qpad.
Les lacunes que j’avais alors remarquées et qui me retenaient de commencer à l’utiliser pour mes propres documents, semblent avoir été comblées pour l’essentiel. L’univers Typst, qui est le dépôt de paquets tiers, s’est largement rempli et semble bien jouer son rôle pour permettre aux utilisateurs de partager les extensions et modèles.
Le langage semble bien conçu :
L’écosystème est également bien conçu et bien fourni et semble bien répondre aux attentes de la communauté, avec une légèreté bienvenue. Dans l’ensemble, j’ai l’impression que Typst est bien parti pour proposer un successeur sérieux à LaTeX. Je formule tout de même quelques interrogations :
Commentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur
Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
Seize transcriptions ont été publiées au mois d'août 2025, ce qui correspond à 10 heures et 50 minutes d'enregistrements audio ou de vidéos.
Ecosystème est une série de sept podcasts écrits et tournés par Mathilde Saliou et produits par Next, un service de presse en ligne. Dans ces podcasts, Mathilde s'entretient avec des spécialistes des enjeux environnementaux du numérique pour mieux comprendre les effets concrets de nos usages de ces technologies sur la planète et sur ses habitants. (…)
Assistance technique et démonstration concernant les logiciels libres.
Attention, réservez votre place par contact (at) linuxmaine.org
Planning des réservations consultable ici.
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Il est préférable de réserver votre place à contact (at) linuxmaine (point) org
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Calendrier Web, regroupant des événements liés au Libre (logiciel, salon, atelier, install party, conférence), annoncés par leurs organisateurs. Voici un récapitulatif de la semaine à venir. Le détail de chacun de ces 26 événements (France: 26) est en seconde partie de dépêche.
L’Association Club Linux Nord Pas-de-Calais est présent tous les premiers mardis du mois aux Petites Cantines, à Croix.
Au cours de ces séances, nous vous proposons d’installer le système d’exploitation libre Linux et/ou les logiciels libres que vous utilisez sur votre ordinateur.
Si votre ordinateur est récent et que vous vous voulez vous donner les moyens de maîtriser les informations qui y entrent et en sortent, ou si votre ordinateur devient poussif…
Pensez à nous rendre visite, c’est gratuit et on vous donnera toutes les clés pour que vous puissiez faire le choix qui vous convient
Tout d'abord, ce n'est pas une école comme les autres. Elle n'a pas d'établissement fixe, pas de cours de récréation, pas de carte d'étudiant, ni de diplôme de fin d'année.
Comme toutes les écoles, son rôle est d'apprendre à ses élèves les logiciels libres, c'est-à-dire:
En fait, l'école du logiciel libre est une université populaire, comme celles qui ont vu le jour en France à partir du 19ème siècle, et dont le but est de transmettre des connaissances théoriques ou pratiques à tous ceux qui le souhaitent. Et pour atteindre ce but, sa forme juridique est de type "association à but non lucratif".
Comment fonctionne l'école?Cette école étant une association, elle possède, comme toutes les autres, un bureau, élu chaque année en assemblée générale, pour l'administrer. Mais elle a aussi des responsables pédagogiques dont le rôle est essentiel car ce sont eux qui établissent les programmes des cours en fonction des souhaits des adhérents, valident les candidatures des enseignants et affectent les sessions.
Les membres du bureau et les responsables pédagogiques forment "l'encadrement de l'école". Tous les membres "encadrants" doivent être membres de l'association.
Les locaux où se déroulent les cours seront ceux que l'on veut bien nous prêter: une salle des fêtes, un théâtre, une salle de réunion publique, un amphi dans une école publique, ou autre.
Les thèmes des cours sont définis par les adhérents en fonction de leurs envies, de leurs besoins. Les cours sont ensuite décidés par les responsables pédagogiques de l'école en fonction des enseignants disponibles.
Afin de permettre au plus grand nombre de participer et d'assister aux cours, les sessions se tiennent essentiellement le samedi. Une première, sous forme d'atelier public, de 10h30 à 13h, et une autre, sous forme de cours, de 14h30 à 18h30.
Programme détaillé sur le site http://e2li.org
Tout d'abord, ce n'est pas une école comme les autres. Elle n'a pas d'établissement fixe, pas de cours de récréation, pas de carte d'étudiant, ni de diplôme de fin d'année.
Comme toutes les écoles, son rôle est d'apprendre à ses élèves les logiciels libres, c'est-à-dire:
En fait, l'école du logiciel libre est une université populaire, comme celles qui ont vu le jour en France à partir du 19ème siècle, et dont le but est de transmettre des connaissances théoriques ou pratiques à tous ceux qui le souhaitent. Et pour atteindre ce but, sa forme juridique est de type "association à but non lucratif".
Comment fonctionne l'école?Cette école étant une association, elle possède, comme toutes les autres, un bureau, élu chaque année en assemblée générale, pour l'administrer. Mais elle a aussi des responsables pédagogiques dont le rôle est essentiel car ce sont eux qui établissent les programmes des cours en fonction des souhaits des adhérents, valident les candidatures des enseignants et affectent les sessions.
Les membres du bureau et les responsables pédagogiques forment "l'encadrement de l'école". Tous les membres "encadrants" doivent être membres de l'association.
Les locaux où se déroulent les cours seront ceux que l'on veut bien nous prêter: une salle des fêtes, un théâtre, une salle de réunion publique, un amphi dans une école publique, ou autre.
Les thèmes des cours sont définis par les adhérents en fonction de leurs envies, de leurs besoins. Les cours sont ensuite décidés par les responsables pédagogiques de l'école en fonction des enseignants disponibles.
Afin de permettre au plus grand nombre de participer et d'assister aux cours, les sessions se tiennent essentiellement le samedi. Une première, sous forme d'atelier public, de 10h30 à 13h, et une autre, sous forme de cours, de 14h30 à 18h30.
Programme détaillé sur le site http://e2li.org
Tout d'abord, ce n'est pas une école comme les autres. Elle n'a pas d'établissement fixe, pas de cours de récréation, pas de carte d'étudiant, ni de diplôme de fin d'année.
Comme toutes les écoles, son rôle est d'apprendre à ses élèves les logiciels libres, c'est-à-dire:
En fait, l'école du logiciel libre est une université populaire, comme celles qui ont vu le jour en France à partir du 19ème siècle, et dont le but est de transmettre des connaissances théoriques ou pratiques à tous ceux qui le souhaitent. Et pour atteindre ce but, sa forme juridique est de type "association à but non lucratif".
Comment fonctionne l'école?Cette école étant une association, elle possède, comme toutes les autres, un bureau, élu chaque année en assemblée générale, pour l'administrer. Mais elle a aussi des responsables pédagogiques dont le rôle est essentiel car ce sont eux qui établissent les programmes des cours en fonction des souhaits des adhérents, valident les candidatures des enseignants et affectent les sessions.
Les membres du bureau et les responsables pédagogiques forment "l'encadrement de l'école". Tous les membres "encadrants" doivent être membres de l'association.
Les locaux où se déroulent les cours seront ceux que l'on veut bien nous prêter: une salle des fêtes, un théâtre, une salle de réunion publique, un amphi dans une école publique, ou autre.
Les thèmes des cours sont définis par les adhérents en fonction de leurs envies, de leurs besoins. Les cours sont ensuite décidés par les responsables pédagogiques de l'école en fonction des enseignants disponibles.
Afin de permettre au plus grand nombre de participer et d'assister aux cours, les sessions se tiennent essentiellement le samedi. Une première, sous forme d'atelier public, de 10h30 à 13h, et une autre, sous forme de cours, de 14h30 à 18h30.
Programme détaillé sur le site http://e2li.org
Tout d'abord, ce n'est pas une école comme les autres. Elle n'a pas d'établissement fixe, pas de cours de récréation, pas de carte d'étudiant, ni de diplôme de fin d'année.
Comme toutes les écoles, son rôle est d'apprendre à ses élèves les logiciels libres, c'est-à-dire:
En fait, l'école du logiciel libre est une université populaire, comme celles qui ont vu le jour en France à partir du 19ème siècle, et dont le but est de transmettre des connaissances théoriques ou pratiques à tous ceux qui le souhaitent. Et pour atteindre ce but, sa forme juridique est de type "association à but non lucratif".
Comment fonctionne l'école?Cette école étant une association, elle possède, comme toutes les autres, un bureau, élu chaque année en assemblée générale, pour l'administrer. Mais elle a aussi des responsables pédagogiques dont le rôle est essentiel car ce sont eux qui établissent les programmes des cours en fonction des souhaits des adhérents, valident les candidatures des enseignants et affectent les sessions.
Les membres du bureau et les responsables pédagogiques forment "l'encadrement de l'école". Tous les membres "encadrants" doivent être membres de l'association.
Les locaux où se déroulent les cours seront ceux que l'on veut bien nous prêter: une salle des fêtes, un théâtre, une salle de réunion publique, un amphi dans une école publique, ou autre.
Les thèmes des cours sont définis par les adhérents en fonction de leurs envies, de leurs besoins. Les cours sont ensuite décidés par les responsables pédagogiques de l'école en fonction des enseignants disponibles.
Afin de permettre au plus grand nombre de participer et d'assister aux cours, les sessions se tiennent essentiellement le samedi. Une première, sous forme d'atelier public, de 10h30 à 13h, et une autre, sous forme de cours, de 14h30 à 18h30.
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En fait, l'école du logiciel libre est une université populaire, comme celles qui ont vu le jour en France à partir du 19ème siècle, et dont le but est de transmettre des connaissances théoriques ou pratiques à tous ceux qui le souhaitent. Et pour atteindre ce but, sa forme juridique est de type "association à but non lucratif".
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En fait, l'école du logiciel libre est une université populaire, comme celles qui ont vu le jour en France à partir du 19ème siècle, et dont le but est de transmettre des connaissances théoriques ou pratiques à tous ceux qui le souhaitent. Et pour atteindre ce but, sa forme juridique est de type "association à but non lucratif".
Comment fonctionne l'école?Cette école étant une association, elle possède, comme toutes les autres, un bureau, élu chaque année en assemblée générale, pour l'administrer. Mais elle a aussi des responsables pédagogiques dont le rôle est essentiel car ce sont eux qui établissent les programmes des cours en fonction des souhaits des adhérents, valident les candidatures des enseignants et affectent les sessions.
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En fait, l'école du logiciel libre est une université populaire, comme celles qui ont vu le jour en France à partir du 19ème siècle, et dont le but est de transmettre des connaissances théoriques ou pratiques à tous ceux qui le souhaitent. Et pour atteindre ce but, sa forme juridique est de type "association à but non lucratif".
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