Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
Jitsi est un service de visioconférence gratuit et open source, lancé en 2013. Il rencontre un franc succès alors que l’application Zoom a été récemment confrontée à des difficultés liées à des piratages et sur la gestion des données personnelles.
Les récents avis rendus par la Cnil, le CNNum et le Conseil scientifique ont sonné le top départ pour les équipes de développement d’une application de «contact tracing».
La ‘guerre’ contre le coronavirus Covid-19 met le système de santé et les institutions à l'épreuve et paralyse l'économie. Mais au-delà de la crise sanitaire, doit-on également craindre une crise informatique? Réponses et réflexions, avec des spécialistes.
Le monde entier se mobilise pour faire face au Covid-19. De nombreuses initiatives émergent à travers le globe pour aider la population mondiale à lutter contre ce fléau. Il y a quelques jours, le site Motherboard a rapporté l’existence d’un nouveau projet lancé par un groupe de scientifiques, de juristes et d’entrepreneurs venus des quatre coins du monde.
Etudiants, enseignants et administratifs de l’Université de Nantes bénéficient désormais d’un service à base de NextCloud et OnlyOffice dans un environnement totalement en logiciels libres. 16 000 comptes et 110 000 partages sont aujourd’hui actifs. L’université finance des améliorations de la plate-forme en vue des prochaines étapes du projet.
«Rien ne sera plus comme avant.» Cette phrase, elle résonne dans le web depuis quelques semaines. Avec le confinement, un raz-de-marée d’interrogations sur le monde de demain déferle sur nos écrans. Et le futur du travail occupe une place centrale dans ce questionnement (ex. ici et là). En fait, ce «rien ne sera plus comme avant» n’est pas tant une question qu’une affirmation. Affirmation où l’on perçoit à la fois un profond malaise et le souhait d’un avenir un peu meilleur. Et si on pouvait construire un autre futur du travail, grâce aux communs?