Cette revue de presse sur Internet fait partie du
travail de veille mené par l’April dans le cadre de son
action de défense et de promotion du logiciel libre. Les
positions exposées dans les articles sont celles de leurs
auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de
l’April.
Ivre, il balance des décennies
d’expérience sur Windows pour se lancer dans
le logiciel libre avec Fedora, l’un des
distro Linux les plus populaires. Alors, le
futur sera-t-il open source?
Dans une lettre adressée aux organismes
nationaux de recherche, les services de
Philippe Baptiste demandent un état des lieux
de la dépendance française aux technologies
américaines afin de trouver rapidement des
alternatives nationales.
Selon une trentaine de députés européens,
des géants de l’IA qualifient - à tort -
leurs systèmes d’IA «d’open source» pour
échapper à l’AI Act: le règlement européen
sur l’intelligence artificielle prévoit des
obligations moins lourdes pour les licences
libres et ouvertes. Une faille dans laquelle
se seraient engouffrés plusieurs géants du
secteur comme Meta, le groupe de Mark
Zuckerberg.
Le socle interministériel de logiciels
libres a encore grossi. Désormais, il y a
plus de 500 références dans le catalogue des
programmes informatiques que l’État conseille
à ses administrations. Un travail de longue
haleine, commencé au début de la décennie
passée.
Vous songez à quitter les Gafam pour moins
dépendre des États-Unis? Rien de plus normal,
c’est pourquoi nous allons vous aider ici à
trouver des solutions de remplacement de
leurs applications et services.